Japy baisait virilement la petite Laurence en pensant au jeune voisin, nous étions trois au lit, j’attendais mon tour, elle me regardait en me branlant, ses yeux papillonnèrent, elle allait jouir, elle gémit de plaisir :
— C’est bon, ma petite chérie ?
J’aimais la mater quand elle se faisait baiser, Japy était endurant, Laurence, nue, nous avait sucés sur la plage après que nous nous fûmes baignés.
Il la faisait jouir, il grogna en éjaculant, il n’était pas bavard, il me laissa la place. Je la baisais en silence, elle ahanait, Japy nous matait en se branlotant, j’aimais me faire regarder pendant que je baisais, je prenais mon temps, il ne disait rien, je pompais lentement en suçant ses tétons, j’aimais ressentir à fond sa petite chatte spermeuse et la faire gémir de plaisir, elle aurait voulu pourtant que j’allasse plus vite, mais elle pouvait patienter, elle jouirait plus fort, elle chantera plus fort, elle aimait nous montrer son plaisir, je la pinais inlassablement, elle perdait la tête :
— Oh oui ! Oh oui ! Oh oui !
C’était le moment, je la défonçais virilement, elle cria :
— Je jouis ! je jouis ! je jouis ! C’est trop bon !
je l’embrassais amoureusement :
— Je t’aime !
Je pouvais jouir, je me vidai les couilles dans sa jolie petite chatte. Japy commença par la lécher, il aimait maintenant le goût du sperme, il aimait avaler celui de Thomas, puis, il la monta, elle soupira, nous avions décidé de la baiser pendant toute le nuit chacun notre tour, nous ferions des pauses. Il la pinait doucement, nous avions tout notre temps, je me faisais branler par la petite main chaude de Laurence, je la guidais alors qu’elle se faisait baiser, elle aimait faire l’étoile de mer, nous pouvions profiter d’elle, nous nous partagions ses gros seins souples, Japy adorait ses gros seins moelleux, Thomas n’en avait pas. Il allait et venait plus vite, il la faisait gémir, avant, il aurait dit :
— Elle va jouir, la petite !
Il se taisait, il se concentrait en écoutant ses cris de plaisir, guettant le bon moment, elle était toute proche :
— Tu me fais jouir !
Il se libéra, il la secouait frénétiquement en la faisant hurler, enfin, il grogna, il éjaculait, je le laissai reprendre son souffle sur le corps chaud et frémissant de la petite Laurence satisfaite, puis, je la léchai, son vagin dégoulinait de sperme, elle aurait préféré se faire baiser, mais je la fis jouir en la léchant et en lui titillant le clitoris pendant que Japy lui pelotait les seins. Enfin, je la pénétrai, agenouillé entre ses jambes, offrant son corps frémissant, nos quatre mains la caressaient pendant que j’allais et venais à fond, je me penchais de temps à autre pour l’embrasser amoureusement, j’aurais voulu l’enculer, mais, on ne devait utiliser que sa jolie petite chatte, on avait déjà joui trois fois dedans, mais, c’était le jeu. Elle recommençait à gémir de plaisir, Japy lui titillait le clitoris, je soulevais ses jambes et accélérais le va-et-vient, elle jouit pour la cinquième fois, je m’allongeai sur son corps chaud et frémissant pour jouir dans sa chatte confortablement tout en l’embrassant, elle jouissait encore.
Japy la lécha longuement, il la fit jouir, il aimait la lécher, surtout, il aimait notre foutre, il pensait à Thomas, ça l’avait très excité, il la baisa virilement en soufflant, ils jouirent ensemble, il allait et venait toujours, très lentement, c’était mon tour, mais, je le laissai faire, il pouvait baiser plusieurs fois une fille, il redevenait normal. Il la baisa longtemps avant de jouir, il la fit jouir encore deux fois, elle nous regardait amoureusement, j’attendis qu’il se retirât et je la léchai, je trichai un peu, je la sodomisai avec le doigt, ça la fit jouir, Japy l’embrassait discrètement, il pensait que je ne le voyais pas, je ne dis rien, il embrassait beaucoup Thomas pendant qu’il l’enculait, il devenait romantique, il aimait ses lèvres :
— Tu peux l’embrasser si tu aimes ça ! Je ne peux pas te l’interdire ! Ça serait complètement idiot !
Il recommença à embrasser alors que je la montais, elle le branlait, nous devions bander pour bien la baiser, elle le savait, mais, quand elle allait jouir, elle ne pouvait plus branler, on se débrouillait autrement, mais, Thomas branlait beaucoup mieux, nous y pensions, il suçait mieux aussi, c’était un garçon habile, on ne pouvait pas les opposer, elle pouvait être maladroite, mais, c’était encore plus excitant, Laurence avait une petite chatte magique, j’en profitais, quand elle jouit de nouveau, elle contracta fortement son vagin spermeux, je jouis avec elle en grognant de plaisir, je comprenais maintenant pourquoi Japy avait joui tellement vite, je continuais à aller et venir lentement, j’avais joui trop vite et je bandais toujours, nous nous partagions sa bouche, ses gros seins souples, ses fiers tétons bandés, elle avait deux hommes et elle adorait ça :
— Vous me faites jouir, les gars ! Je vous aime !
Elle était totalement offerte, toute gémissante, se tortillant délicieusement sous mon corps, je faisais durer, Japy ne s’impatientait pas, il nous matait calmement en guidant la petite main rebelle sur sa bite en érection, mais le vagin magique se contracta violemment, elle jouissait en criant très fort, je pinai très vite pour jouir à mon tour, je me vidai les couilles dans sa petite chatte magique pour la troisième fois, nous avions joui six fois, sa chatte débordait de sperme, nous ne fîmes pas de pause, Japy la lécha très longtemps, il avalait le foutre avec gourmandise en se léchant les doigts, enfin, il la baisa, elle jouissait à répétition, son rythme était rapide et régulier, il haletait bruyamment, après s’être vidé les couilles, il se retira rapidement et me laissa la place, je pris le relai sans pause en la bousculant et en la faisant crier, nous avions joui huit fois dans sa petite chatte magique, après m’être retiré, nous fîmes une pause.
La nuit était à nous, Laurence enduisit de pommade magique nos deux queues fatiguées et sa jolie petite chatte trempée :
— Ça va bien chauffer, les gars ! C’était super ! Vous m’avez fait jouir !
Elle riait :
— J’aime me faire monter ! Je vais vous sucer un peu et on va recommencer ?
Elle nous suça à quatre pattes sur le lit :
— Ça a goût de vanille !
Nous bandions de nouveau, elle était satisfaite, elle s’allongea sur le dos jambes grandes ouvertes en soupirant :
— Tu y vas ?
Japy la caressait :
— C’est trop beau, une fille nue !
— Ça me fait bander !
— Tu sais, je suis venu trois fois cette semaine pour Thomas !
— Tu es amoureux ?
— J’aime le baiser ! Je suis devenu pédé !
— Ce n’est pas grave ! Laurence t’attend ! Je prends la place ?
Il grimpa sur elle :
— J’aime les filles, mais j’aime un garçon !
Il la pinait doucement :
— Je le baise dans la grange, il a la clé ! Il m’attend complètement nu !
— Nous le savons !
— J’ai honte ! Je pense à lui tout le temps !
— Tu es bisexuel ! Tu aimes quand même baiser Laurence ?
— J’adore ça ! Elle a des seins et une petite chatte foutreuse !
— Tu es en train d’en profiter !
— Tu es trop bavard ! Occupe-toi de moi !
— Excuse-moi !
Il se concentra :
— J’avais la tête ailleurs !
— Tu es amoureux ! Tu ne m’aimes plus ?
Il donna des coups de reins :
— Je t’adore, j’adore te baiser !
— Oh oui ! Oh oui ! Oh oui ! Continue comme ça !
Il ne disait plus rien, il la secouait :
— Plus vite ! Plus vite ! Plus vite !
Elle me branlait vigoureusement, j’allais presque jouir, mais elle s’arrêta soudainement, elle jouissait très bruyamment, en ruant violemment, Japy dut la maîtriser pour ne pas vider les étriers, il put enfin jouir, essoufflé.
Je la baisais à mon tour, elle était plus calme, à moitié évanouie, je pouvais lui faire ce que je voulais, la baiser tranquillement à mon rythme, elle gémissait tout bas, ça ne me dérangeait pas, j’aimais faire durer, j’arrêtais et recommençais le va-et-vient, elle pleurnichait tout bas, puis, je voulus vider mes couilles, je donnai plusieurs coups de reins et j’inondai sa petite chatte, elle n’avait pas joui, elle tremblait de tout son corps :
— Tu peux la prendre !
Il commença par la lécher, elle jouit instantanément :
— Tu aimes lécher les chattes maintenant ?
— Les chattes spermeuses, j’aime le goût du sperme, ça m’excite !
Il monta la petite Laurence :
— Tu lécheras mon sperme, tu aimes bien ça !
— Je le ferai !
— J’aime sa chatte !
— Nous l’avons honoré dix fois !
— Elle n’a pas joui quand tu l’as baisée ?
— Moi, j’ai bien joui, elle, elle jouit trop !
— Je comprends ! Je commence à aimer la lenteur !
— On sent mieux la chatte ? Ça dure plus longtemps !
— Elle jouit moins ?
— On jouit plus !
— Elle ne bouge plus !
Il la baisait lentement :
— Elle ne gémit plus !
— Ce n’est pas grave, nous l’avons trop baisée !
— On arrête ?
— Surtout pas !
— Je ne pourrais pas ! De toute façon !
Il allait et venait plus vite, elle était totalement inerte, je pouvais utiliser sa petite main, elle me laissait faire, nous nous taisions, enfin, Japy grogna, il éjaculait :
— C’est bon ?
— Elle n’a pas crié, elle n’a pas joui !
— Mais, c’était bon ?
— Je lui ai inondé la chatte, tu peux lécher le sperme !
Je la léchai :
— C’est bon ?
— C’est délicieux ! J’aime l’odeur de foutre !
Je grimpais sur elle :
— Ça va, ma petite chérie ?
Elle ne répondit pas, ses yeux étaient vitreux, elle ne bougeait pas, je la secouais vigoureusement, elle recommença à gémir :
— Tu lui fais mal !
— Mais non ! Elle aime ça !
Elle suffoquait, puis, elle hurla, elle convulsait frénétiquement, je la tenais solidement, ma monture était déchaînée, je réussis cependant à jouir, j’étais essoufflé, elle se calmait :
— Elle est moitié dingue, tu as vu ?
— Tu l’as fait jouir, et toi, tu as joui ?
— Oui, mais, je vais la baiser tranquillement ! C’était trop agité, je n’en ai pas profité ! Tu peux attendre ?
— Je vous regarderai, ça m’excite de vous voir baiser, c’est mieux que le cinéma !
Il se branlait avec la petite main chaude de Laurence :
— Après, je la lécherai ! Tu entends, elle gémit de nouveau !
— Elle est plus calme ! Pourquoi tu baises Thomas dans la grange ?
— C’est mieux que dehors !
— Pourquoi tu ne le baises pas chez nous ? Ça serait plus drôle !
— Je le voulais pour moi tout seul ! Je suis jaloux, je suis idiot ! On se partage la petite Laurence !
Je la ramonais profondément, elle pleurnichait lamentablement :
— Elle va encore jouir !
— Je vais ralentir ! Je ne veux pas qu’elle s’agite ! Tu sais, quand tu baisais Thomas, je l’avais baisé avant ! Dans l’après-midi !
— Je m’en doutais, il sentait le foutre !
— J’aime le baiser l’après-midi, quand il revient de l’école !
— Je travaille, moi ! Tu prends ton temps !
— Je fais attention à ce qu’elle ne jouisse pas !
— Tu es con ! Elle ne voudra plus baiser !
— Elle aime trop ça ! Tu la feras jouir !
— J’aimerais l’enculer !
— On s’était dit seulement la chatte ! Ça vient !
— Tu as fini ?
— Je gicle encore !
— Je vais la lécher ! Le goût du sperme est différent dans une chatte !
— Ça se mélange avec les sécrétions vaginales ! Sa chatte est à toi !
Pendant qu’il la léchait, je lui pelotais les seins en l’embrassant :
— Tu aimes te faire lécher ?
Elle ne répondit pas :
— Tu préfères te faire baiser ?
Nous lui titillâmes le clitoris, elle gémissait plus fort, nous persévérâmes, elle bougeait les hanches :
— Mets-lui un doigt dans le cul ! Tu voulais l’enculer ?
Elle cria :
— Elle a joui, baise-la maintenant !
— J’allais le faire ! Sa chatte est brûlante !
— C’est la treizième fois !
— Je n’ai pas compté ! Ça coulisse bien ! C’est bon, une chatte spermeuse !
— Tu ne fatigues pas ?
Il la pinait virilement :
— Regarde-moi !
Appuyé sur ses bras tendus, il basculait les hanches rapidement en soufflant bruyamment :
— Han ! Han ! Han !
Elle jouit plaintivement, il allait et venait plus vite en la secouant, c’était sportif, elle jouit encore en hoquetant, il se finit en râlant et se coucha sur elle, ils respiraient fort :
— Belle démonstration !
— Je ne suis pas un pédé !
Je pus avoir enfin la jolie petite chatte spermeuse, elle dégoulinait de sperme, je la léchai, elle était rouge, irritée, je lui mis de la pommade à la vanille, elle soupira :
— C’est bon, ma petite chérie ?
Elle soupira de nouveau, je lui mis un doigt pommadé dans l’anus et le fis aller et venir, elle basculait les hanches alors que je la léchais, elle ne tarda pas à jouir, je pouvais la monter :
— C’est reparti !
— Elle veut encore ?
— Elle voudra tant qu’on la baisera !
— J’aimerais la baiser en levrette ?
— On avait dit seulement la position du missionnaire !
— De toute façon, elle ne fait rien !
— Elle nous donne sa chatte !
— J’aimerais sa bouche !
— On lui demandera ! Mais tu éjaculeras dans sa petite chatte, on l’avait dit !
— C’est idiot !
— On soigne ton homosexualité !
— Connard !
— J’aime ce mot-là ! Maintenant, je baise en silence !
— Tu peux encore gicler ?
— C’est plus long ! Je me concentre !
— On pourra faire une pause ?
— Si tu veux ! je rebondissais confortablement sur le corps de Laurence :
— Elle ne te fait plus bander ?
— Je suis fatigué ! Elle m’a tout pompé !
Je l’inséminai :
— Quinzième fois ! Tu vas pouvoir la lécher, ça te fera bander !
Il grogna, mais il lécha le sperme.
Nous nous reposions, nous fumâmes un joint, nous bûmes du vin magique, nous pelotâmes ses seins, nous jouâmes avec sa petite chatte spermeuse, Laurence revenait à elle :
— C’était trop bien, les gars ! J’aime vos caresses ! Je veux du vin magique ! On recommence ?
— Tu veux encore ? Nous avons joui quinze fois dans ta jolie petite chatte !
— Oh oui !
— Nous sommes fatigués !
— Je vais vous sucer ! Mes pauvres chéris ! Vous me baiserez toute la nuit ! Je vous fais encore bander ?
— Écarte les jambes en grand pour qu’on voie ta chatte ! C’est mieux comme ça !
— Vous aimez ma chatte ?
Elle s’arc-bouta pour qu’on vît mieux, nous la caressions :
— Je vais vous sucer, allongez-vous !
Elle faisait attention qu’on ne jouisse pas, passant de l’un à l’autre, quand elle fut satisfaite, elle s’allongea sur le dos :
— À vous de jouer !
— Va-z-y !
Encore un peu fatigué, Japy me laissa la place, j’en profitais, je la pénétrais rapidement et commençai à la baiser virilement, mes couilles étaient pleines :
— Je t’aime !
— Surtout ma chatte !
Je grognais et elle gémissait de plaisir, nous étions deux bêtes furieuses, il nous matait en se branlant, nous jouîmes ensemble violemment, sans attendre, Japy prit le relai après avoir léché mon sperme sur sa chatte, c’était une friandise pour lui, il était très excité, il jouit rapidement :
— Tu es rapide !
— Ton sperme est magique !
C’était plutôt sa chatte !
Mais c’était mon tour, je bandais toujours, je l’enfourchai, ses yeux brillaient, nous baisions lentement en nous regardant dans les yeux :
— Je t’aime !
— Je t’aime !
Je voyais l’orgasme arriver, elle grimaçait sans quitter mes yeux :
— C’est trop bon !
Elle jouissait paisiblement sans s’agiter :
— Tu me fais jouir, mon amour !
C’était le moment pour me vider les couilles, je lui défonçais la chatte, elle criait pendant que je giclais, je m’abandonnais sur son corps chaud et frémissant en l’embrassant :
— Vous me faites bander, les amoureux ! Je peux avoir la place ?
Il ne la lécha pas :
— Je nage dans le foutre !
— Tu aimes ça ! Elle te plaît ! Ma copine !
— Elle me fait bander ! Elle me fait jouir !
— Tu es guéri !
Il l’embrassait passionnément en la pinant virilement :
— Regarde comment je la fais jouir ! Oh putain ! Je jouis ! Je jouis ! Je jouis !
Laurence était contente, elle nous suça :
— Dix-neuf fois !
— On continue ?
— Bien sûr ! Tu ne veux plus ?
— Je commencerai ! Je suis en retard !
Il s’agenouilla entre ses jambes, puis, après réflexion, il la lécha longuement avant de la baiser. Nous jouîmes encore deux fois dans sa petite chatte :
— Vingt et une fois !
— Je pourrais faire la pute !
— Ça ne te plaira pas !
— Je gagnerai plein d’argent ! Tu arrêterais de travailler !
— Idiote !
Nous fîmes une longue pause. Laurence voulut prendre une douche, elle voulait être fraiche, nous refusâmes :
— Tu sens bon le foutre !
Elle nous sourit :
— Ça vous excite ?
On était dans la cuisine, nous buvions du thé au cannabis :
— Nous allons te baiser sur la table de la cuisine !
— Tu pourras nous sucer !
— Vous faites comme vous voulez, les gars ! Mais je veux des coussins sous mes petites fesses !
Elle était complètement nue, jambes écartées sur la table, elle nous attendait, on était complètement stoned, nous jouions avec ses seins souples et sa petite chatte, nous bandions comme des ânes :
— Je commence ?
— Va-z-y !
Je me faisais sucer, il secouait fortement la table :
— Je dois éjaculer dans son vagin ?
— Bien sûr ! je ferai pareil !
— C’est parti ! Elle ne crie pas !
— Elle a la bouche pleine ! Ne t’inquiète pas, elle a joui ! Je l’ai bien senti !
— C’est à toi !
J’étais fin prêt, je la baisais rapidement et je jouis très vite :
— C’est bien de changer de position ! On pourra la baiser plus longtemps !
— Et on a un bon accès à ses gros seins rebondissants !
— Baise-la !
Il s’agenouilla et la lécha, il n’était qu’à moitié guéri, mais, il finit par la baiser en lui tenant les jambes :
— Vous aviez déjà baisé à trois avant moi ?
— Laurence avait hébergé un jeune irlandais, il n’a pas pu résister à ses charmes !
— Il l’a baisée ?
— Nous l’avons baisée !
— Raconte-moi, il l’a fait jouir ?
— Tu es bien curieux ! il l’a fait bien jouir !
— Quelle coquine !
— Tu en profites !
— Elle me les gonfle !
Il pompait virilement :
— Oh putain !
Il la secouait violemment :
— Combien ?
— Vingt-quatre fois !
— C’est du boulot !
Je pris le relai après avoir léché sa chatte spermeuse et lui avoir fait un anulingus, elle adorait ça, c’était une preuve d’amour, j’aurais aimé l’enculer, mais on avait dit que non, qu’on l’enculerait au petit-déjeuner, je l’inséminai :
— Tu veux la baiser ?
— Tu rigoles ! Je vais me finir dans sa jolie petite chatte ! Je suis en pleine forme !
Je me retirai et j’entrai dans sa bouche :
— C’est bon, ma petite chérie ?
Elle se tortillait, profondément embrochée, mais, elle me suçait soigneusement en me branlant et en me caressant les couilles, quand elle jouit, je m’enfonçai dans sa gorge, elle agitait les jambes en l’air :
— Petite diablesse ! Elle va me faire jouir !
— Elle est là pour ça !
— Tu as raison !
Il lui bloqua les jambes en l’air :
— Vingt-six fois ! À toi de jouer !
Je la pénétrai :
— Ça va, ma chérie ?
— On va au lit ? J’ai sommeil !
— Je me finis, après, on y va !
Elle se laissait faire :
— Suce, mon amour !
— Elle dort !
— Elle peut te sucer ! Va dans sa bouche !
— Brave petite ! Elle suce en dormant !
— C’est l’habitude !
Je la baisais interminablement :
— Ça va prendre du temps avant que je gicle !
— C’est normal, on l’a tellement baisée !
— Donne-moi du vin ! Ça va m’aider !
Je bus mon verre de vin magique en continuant à aller et venir bien à fond :
— C’est beaucoup mieux ! Mes couilles bourdonnent !
— Elle aime ça ? Elle dort à moitié ! Tu ne la fais pas jouir !
— Nous, on aime ça ! Tu ne veux plus la baiser ? Tu préfères les garçons ?
— Je veux la faire jouir ! Tu es très long !
— Ça vient ! Ça vient ! Ça vient ! Tu bandes assez ?
— Regarde !
Il se branlait, elle ne le suçait plus :
— Elle est complètement endormie !
Je brusquais le va-et-vient en secouant la table :
— Tu vas enfin jouir ?
— Tu vas pouvoir la lécher !
J’éjaculai abondamment dans le petit vagin humide.
Nous la soulevâmes et la portâmes jusqu’à la chambre :
— Elle dégouline de sperme !
— Tu vas te régaler !
Nous l’allongeâmes sur le dos, jambes grandes ouvertes à notre disposition, elle soupira, pendant que Japy la léchait avidement, je le masturbais :
— Lèche bien tout !
Il la faisait soupirer, puis, il la grimpa, il prenait son temps, il allait et venait en me branlant, elle grimaça, elle allait jouir silencieusement, il la pina encore quinze bonnes minutes avant de gicler :
— Vingt-huit fois ! C’est un record ! Tu vas encore la baiser ?
— Je vais essayer ! Tu m’as bien branlé !
— On s’entraide ! Je l’ai fait jouir ?
— Je pense !
Il était toujours sur Laurence :
— Je suis bien ici ! Elle est très confortable ! Je peux te sucer, ça t’aidera ?
Je m’agenouillai :
— Tu aimes sucer maintenant !
Il sourit :
— Tu éjaculeras dans sa jolie petite chatte, c’est le jeu !
Il était très habile, j’aurais aimé jouir dans sa gorge, il me vit venir et il se retira :
— Sa chatte est à toi !
Après l’avoir léchée, je la baisai, je voulais finir vite, j’avais sommeil, il me fallut encore dix minutes :
— C’est fini pour moi, je ne peux plus !
— Tu as joui ?
— Tu peux la lécher, tu verras ! Tu vas encore la baiser ?
— Je suis en pleine forme ! Regarde ma queue !
— Je peux te sucer un peu !
— Va-z-y ! Je vais la lécher en même temps !
Il aspirait le foutre en allant et venant dans ma bouche, enfin, il la baisa, je pouvais m’endormir, il me branlait, il aimait les queues, c’était agréable, dans un demi-sommeil, je l’entendis baiser en grognant.
Je me réveillai tôt, j’attendais Thomas en buvant mon café, il devait venir, il s’assit sur mes genoux, nous nous embrassions, je descendis son short et je le branlai, il jouit rapidement dans mon poing en se trémoussant, Laurence s’était levée, elle s’était douchée, elle s’assit :
— On l’a baisée toute la nuit !
— Elle a de la chance !
— Tu me le prêtes ?
Je le déshabillai :
— Va-z-y, mon chaton !
Elle jouait avec lui :
— Tu as déjà joui, petit coquin ! Tu as plein de sperme sur le ventre ! Tu l’as branlé ?
— Un petit peu ! Il est parti très vite !
Elle souleva son t-shirt, il voulait ses seins, elle jouait avec sa bite :
— Il est très sensible ! Combien de fois vous m’avez baisée, cette nuit ?
— Tu ne te souviens pas ?
— C’est flou ! Je n’ai pas compté !
— Japy tentait encore une trentième fois quand je me suis endormi !
— Il a réussi ?
— Je ne sais pas ! Toi, tu devrais savoir !
— Je ne comptais pas vos éjaculations ! Vous me faisiez jouir, j’étais ailleurs !
— On lui demandera.
— Il dort toujours !
— Il est fatigué !
— Thomas jouit !
Elle se lécha ses doigts spermeux :
— C’est bon, mon poussin ! J’ai la chatte en feu !
— Je comprends ! Quand tu auras fini ton café, on éteindra l’incendie !
— C’est vous les incendiaires !
— Tu le veux bien !
— Il bande toujours !
— Profites-en !
— Il ne débande jamais !
— Il est encore jeune !
— Il bande pour moi ! Tu veux bien me baiser, tu aimes ma chatte ? Il est timide !
— Avec les filles !
Je débarrassai la table :
— Tu te rappelles, on t’a baisé cette nuit sur cette table ?
— Je m’endormais !
Elle s’allongea sur le ventre :
— Thomas aime mes fesses !
Il les caressait :
— Va-z-y, mon lapin !
— Dans la chatte ?
Il aurait préféré son anus, mais les grandes lèvres rouges et humides attiraient son regard, il se montra viril, elle jouit tout de suite, il l’insémina rapidement, il était très fier, je pris le relai, elle hoquetait de plaisir, Japy s’était levé, son gland violet dressé, il nous observait :
— Vous avez commencé sans moi !
— Tu peux te faire sucer !
— J’attendrai ! Je préfère la baiser !
S’il fut surpris de voir Thomas ici, il ne dit rien, je lui laissai la place, j’avais inondé de sperme la jolie petite chatte :
— Alors ?
— Je n’ai pas pu réussir une trente et unième fois ! Mes couilles étaient complément à sec ! Je l’ai pinée pourtant pendant trente bonnes minutes, mais rien ! J’ai abandonné ! Je nage dans le foutre, j’aurai dû la lécher ! Putain ! Ça vient ! J’aime la prendre par-derrière !
— Tu vas la lécher, Thomas ! Après, tu la baises ! D’accord ?
Il s’agenouilla entre ses jambes :
— Il a de la chance, sa chatte est pleine de foutre ! Ça dégouline !
Il n’était qu’à moitié guéri, Thomas la lécha longuement avec gourmandise, aspira tout le foutre, il se releva en se léchant les babines en nous regardant en souriant :
— C’est trop bon !
— Va-z-y maintenant, elle t’attend !
Il guida son gland dans la fente humide accueillante, il ferma les yeux et s’activa doucement en empoignant les fesses souples et rebondissantes :
— Il est beaucoup plus calme !
— Il a appris ! Mais, il est encore rapide !
— Il est encore jeune ! Il la fait jouir !
— Sa chatte est très sensible ! C’est beaucoup plus facile ! Elle jouit très vite !
— Elle est complètement nymphomane ! Regarde-la !
— Tu en profites bien !
— Il va jouir ! Ça nous fait combien ?
— Ça fait trente-quatre fois !
— C’est ton tour !
Pendant que je la baisais, il se faisait sucer par Thomas en buvant son café magique :
— Tu as été très viril, mon poussin !
La petite Laurence suffoquait :
— Je vais lui mettre de la pommade magique ! Sa chatte est très rouge !
Je me retirai, elle pleurnichait lamentablement :
— Encore ! Encore ! Encore ! N’arrête pas !
— Ça va te faire du bien, mon petit ange !
— Si elle a mal, on pourrait l’enculer ?
— On s’était dit seulement la chatte ! Et elle n’a pas mal, bien au contraire !
Je passai aussi de la pommade magique sur son délicat petit anus et ses gros tétons dressés, je pouvais la pénétrer, elle jouissait à répétition en gémissant sporadiquement, je submergeai de semence son petit vagin brûlant :
— Tu vas avoir beaucoup de foutre !
— J’espère bien !
Il s’agenouilla entre les jambes et flaira la chatte :
— J’aime l’odeur de foutre !
Il la lécha soigneusement :
— Gros gourmand !
— Ça m’excite trop !
Il la baisa rapidement pendant que notre jeune voisin me suçait à genoux, il adorait le goût de chatte, c’était son petit sucre d’orge, j’aurais voulu éjaculer dans sa jolie bouche gourmande, mais il avait une chatte libre qui l’attendait :
— C’est mon tour ?
— Oui, mon minou ! Va-z-y !
Il bandait toujours, de nouveau, il ferma les yeux tout en la pinant lentement :
— Rien ne vaut une bonne chatte ?
— C’est tellement trop bon !
Je l’avais converti, on était trois à baiser la petite Laurence, elle n’en pouvait plus :
— On devrait la retourner, on pourrait jouer avec ses gros seins rebondissants !
— On va attendre qu’il ait fini !
— Elle pourra nous sucer ?
— Je ne sais pas !
Nous la retournâmes sur le dos, elle en eut à peine conscience, nous la caressâmes de nos six mains, elle s’arc-boutait, je la léchai à genoux, mais elle voulait tout de suite une bite bien dure la fouillant, j’exauçai son désir, elle se calma aussitôt, Japy voulut se faire sucer par elle, mais elle était trop distraite, à chaque coup de reins, elle couinait, ses yeux étaient vitreux, nous la rendions folle, je lui titillai le clitoris, c’était très sensible :
— Ça te fait jouir, ma petite chérie !
Les garçons se branlaient mutuellement en lui caressant les seins, pinçant les tétons :
— Elle perd la tête, la petite !
— Elle me fait jouir !
Je giclais :
— On l’a fait trente-sept fois !
Japy prit le relai après l’avoir léchée à genoux soigneusement :
— Sa chatte est bien propre ! J’ai tout avalé !
— Tu vas la souiller !
— Évidemment !
Il lui souleva les jambes :
— N’oublie pas son délicieux petit clitoris !
— Je la ferai jouir avec seulement ma bite !
— Tu n’es pas gentil !
— Tu vois bien que je lui tiens les jambes ! Je n’ai pas trois mains !
Pendant qu’il la baisait, je suçais Thomas agenouillé, il devait prendre le relai, il titillait le clitoris, il était très mignon, ils s’embrassaient amoureusement, ceci fit sûrement jouir Japy, il laissa la place, notre jeune voisin s’empara de la chatte, je l’avais trop bien sucé, il jouit instantanément :
— Recommence, tu as droit à une seconde chance !
Nous le caressions, nous l’embrassions, il était très courageux :
— Ce soir, tu seras notre femme !
Il était heureux, il la pinait virilement :
— Tu la fais jouir, mon chaton !
Je lui caressais les couilles, je lui mettais un doigt dans le cul, Japy l’embrassait amoureusement, nous allions le sodomiser, il aimait la chatte, il était heureux, il se vida les couilles, nous nous agenouillâmes ensemble, il suçait, je léchais, c’était trop bon, mais, elle s’impatientait, j’investis sa petite chatte accueillante :
— Après, je fais une pause ! Elle a bien assez joui !
— Je peux la baiser longtemps, j’ai les couilles pleines !
— Je vous regarderai ! Je baiserai ce soir !
— Tu la baises tous les jours ! On pourra la sodomiser ?
— Bien sûr ! Et Thomas sera aussi notre petite femme ! Il sera à notre disposition pendant toute la nuit ! Ses parents sont partis pour le week-end !
— On va s’amuser !
— C’est ta récompense ! Tu es totalement guéri !
— Tu le penses ? Je vais encore baiser un garçon !
— Tu peux baiser plusieurs fois une fille ! Elles te font bander ! Tu aimes la chatte ! Tu l’as prouvé !
— C’est vrai, et je vais encore le montrer quand tu auras fini ! Je ne suis pas un pédé !
— Tu vois !
Je riais intérieurement :
— On a le droit de s’amuser !
— Si tu ne finis pas, je vais jouir dans sa bouche !
— Il suce bien !
— Tu peux le dire ! J’aime sa langue, et il n’oublie pas mes couilles !
— Il est très habile ! Mais, attends un peu, je vais gicler ! Ha ! C’est trop bon… Sa petite chatte est à toi !
Il la pénétra tout de suite :
— Merci ! Il était grand temps !
Il éjaculait :
— Putain ! C’était juste !
— Tu peux recommencer !
— Je préfère attendre un peu ! C’est le tour du gamin !
Je m’étais habillé, je préparais le repas du midi, je les regardais baiser Laurence, ils la faisaient gémir, elle jouissait à répétition, elle en voulait encore, Japy la baisa encore :
— J’abandonne ! Quarante-quatre fois ! Si je ne me trompe pas !
Notre jeune voisin s’était agenouillé et la léchait, elle écartait les jambes et lui caressait la tête :
— Elle aime ça !
— Il fait ça bien !
— Il a appris !
Il se rhabilla :
— Ils sont très mignons ! Je peux t’aider ?
— Il y a les oignons à couper !
— Je vais pleurer ! Maintenant, il la baise !
— Je vois ça !
— Je peux avoir du vin ?
— Sers-toi !
— Va-z-y, mon poussin ! Ils n’arrêtent pas ! Je pleure !
Nous les mations :
— Il va jouir bientôt ! Il s’agite ! Tu nous diras ? Que je compte !
Il grogna :
— Tu as giclé ?
Il donnait de grands coups de reins :
— Tu vois bien qu’il jouit !
— Quarante-cinq fois !
Il continuait à aller et venir lentement :
— Il recommence !
— Je peux encore la baiser ?
Il était très timide :
— Bien sûr ! Autant que tu voudras !
— Il a encore les couilles pleines !
— Il est jeune ! À son âge, je pouvais me branler dix fois de suite !
— C’est vrai ! Il aime se faire regarder ! Ça l’excite !
— Tu aimes ça aussi !
Il nous souriait malicieusement en la pinant :
— Il aime la chatte !
— Nous aimons la chatte !
— Et les gros seins rebondissants ! Putain ! Je bande !
— Attend ce soir !
— Ils baisent devant nous !
— Contente-toi de regarder en buvant du vin !
— Laurence n’arrête pas !
— Elle écarte seulement les jambes et elle attend de jouir ! Tant qu’elle nous fait bander ! Je vais faire un gâteau ! Elle adore ça !
— Ils m’excitent !
— Calme-toi !
— Il secoue la table ! Il la baise sous mon nez !
— Tu le déconcentres ! Laisse-le finir !
— Il jouit encore ! Ce petit salopard !
— Tu es jaloux ?
Il haussa les épaules :
— Il va enfin s’arrêter ?
De nouveau, il allait et venait lentement entre les douces cuisses ouvertes de Laurence :
— Je peux recommencer ?
— Il exagère !
— Bien sûr, mon chaton ! Si Laurence veut bien !
Elle tourna la tête et nous sourit malicieusement :
— Va-z-y, mon petit chéri ! Tu es très viril !
— Elle parle maintenant ! Il ne la fait pas jouir !
— Mais si ! Grand idiot ! Attends un peu !
— Je ne sais même pas s’il a vraiment joui, peut-être il a simulé !
— Si, il a joui, je l’ai bien senti !
— Je peux vérifier en te léchant la chatte ?
— Tu ne me crois pas ? Tu es vraiment idiot !
— Tu peux la lécher !
Il s’était retiré, Japy se leva et s’agenouilla entre les cuisses humides de ma délicieuse petite copine :
— C’est bien spermeux !
— Tu me crois, bougre d’imbécile ?
Il la léchait avec gourmandise, il avala tout le sperme :
— C’est trop bon !
Il se releva et baissa son pantalon :
— Je n’en peux plus ! Je veux sa chatte !
— Tu as pris sa place !
— C’était une urgence ! Il peut attendre un peu ! Il en a bien profité !
— Vous me faites envie !
Laurence aimait qu’on se dispute sa petite chatte, elle soupirait plus fort, elle voulait encore jouir, elle ferma les yeux, on lui faisait des caresses, les garçons l’entouraient, elle se faisait piner virilement, la jouissance arrivait, elle cria de plaisir, elle aurait dû arrêter, elle ne pouvait pas, elle avait pourtant mal, mais elle jouissait tellement et elle était très fier de nous faire encore bander, de nous vider les couilles, nous l’avions beaucoup inséminée, sa chatte débordait de sperme, nous allions encore l’inséminer, Japy avait giclé, je baissai mon pantalon :
— Je prends ton tour, mon chaton !
— C’est pas grave !
— Tu la baiseras après, autant de fois que tu voudras !
Il m’embrassa amoureusement, je la pinais virilement en lui soulevant les jambes, je la rendais folle, sa chatte était brûlante et juteuse, elle se contractait délicieusement, je ne tardai pas à jouir, nous avions remonté nos pantalons, nous buvions du vin :
— Ça fait du bien !
— Pauvre petite Laurence !
— Elle le veut bien !
— C’est bon, mon chaton ?
À genoux, il léchait le sperme, il embrassait la chatte comme une bouche, il lui lécha soigneusement l’anus en lui titillant le clitoris :
— Il ne perd rien !
— Elle adore l’anulingus, écoute-la !
Elle piaillait doucement, il avait avalé tout le sperme :
— Viens nous embrasser !
Il nous embrassa longuement :
— Tu as bon goût ! Va jouer maintenant !
Il retourna entre les jambes de Laurence, il jouit très vite :
— Tu as compté ?
— Peut-être quarante-huit fois ! Je ne sais plus ! Il a recommencé ! Il est complètement fou !
— Tu peux parler ! Tu avais pris son tour !
— Il est devenu hétérosexuel !
— Tu ne veux plus être notre femme, mon chaton ? Tu préfères la chatte ? Tu as le droit !
Il allait et venait à fond :
— C’est bien mieux que de se branler ! Puis, j’aime ses gros seins quand ils rebondissent ! Mais ce soir, je serai votre petite femme !
Il nous souriait :
— Tu aimes ça ?
— Oh oui !
Japy soupira :
— J’aime te baiser !
— Je sais !
— Tu m’aimes ?
— J’aime me faire sodomiser par toi et Jean-Jacques !
Il soupira plus fort :
— Tu ne m’aimes pas !
— Je t’aime bien, j’aime ta grosse bite !
— Mais tu ne m’aimes pas !
Il n’était qu’à moitié guéri :
— Il te donne du plaisir, mais il est trop jeune pour le grand amour !
Il était très triste :
— Je croyais…
— Laisse-lui le temps !
— Il est tellement mignon !
— Tu es amoureux !
— Regarde-le ! Il est beau quand il jouit !
— Tu as fini, mon chaton ?
— Je pourrais encore, mais…
— On va manger !
Il continuait à aller et venir, il ne pouvait pas arrêter, comme quand il se branlait : — Va sur les genoux de Japy, mon poussin !
C’était moi qu’il aimait, il m’obéit.
J’avais léché soigneusement la chatte spermeuse de Laurence avant de l’asseoir sur mes genoux, je ne voulais pas souiller mon pantalon, mais, elle mouillait abondamment, nous jouâmes avec eux en buvant l’apéro, puis, ils mirent le couvert, ils étaient complètement nus, nous étions habillés, c’était amusant, ils étaient nos petites esclaves, nous les fîmes manger. L’après-midi, nous allâmes au cinéma, Thomas resta chez lui faire ses devoirs.
Au cinéma, nous nous fîmes branler, nous nous fîmes sucer, nous jouîmes dans sa bouche, nous lui pelotâmes les seins, nous lui suçâmes les tétons, nous retirâmes sa petite culotte, nous la caressâmes, nous la fîmes jouir, le film n’était pas intéressant. Nous allâmes à la brasserie et ensuite retournâmes à la maison, il était tard.
Thomas nous attendait complètement nu dans la cuisine, faisant ses devoirs :
— Tu fais tes devoirs en te branlant, mon chaton ?
— Ça m’aide pour ma rédaction !
Nous préparâmes le repas en prenant l’apéro, nous avions déshabillé Laurence, à genoux, elle suçait notre petit écolier, il fermait les yeux de plaisir :
— Il aime se faire sucer par les filles !
— Il ne travaille plus ! Il a sa rédaction !
Il s’arc-bouta sur sa chaise :
— Regarde, il jouit !
— Viens nous embrasser !
Elle se léchait les babines.
Nous mangeâmes, j’avais Laurence, nous jouions avec eux :
— Tu n’es pas jalouse, ma petite chérie ? Notre petit écolier, ce soir, veut bien être notre femme !
— Il le mérite !
— Ça ne te dérange pas ?
— J’aime me faire baiser avec lui, il me tient la main, on jouit ensemble, c’est ma petite sœur !
— Nous allons vous enculer !
— Je préfère ça, ma chatte est encore irritée, vous m’avez défoncée !
— Tu as aimé ça ?
— Oh oui, mes petits amours ! Vous m’avez bien inséminée !
— Nous t’avons léchée !
— Vous êtes des petits coquins ! Vous vouliez lécher le sperme !
— Du sperme au jus de chatte !
— C’est délicieux !
— J’adore ça !
— C’est plein de phéromones !
— Vous avez de la chance, vous me ferez goûter ! Tu me chatouilles !
— Il a joui dans ma main !
— Tu le branlais !
— Un petit peu ! Il est très sensible ! Tu m’aimes un peu, mon poussin ?
Il l’embrassa amoureusement :
— J’aime tes caresses !
Mon petit jeu gémit :
— Tu vas me faire jouir !
Je la titillai plus vite, elle se tendit :
— Tu me fais jouir ! Tu connais bien mon clitoris !
Nous mangeâmes le dessert, nous avions échangé nos jeux :
— Putain ! Je veux baiser !
— On fait la vaisselle ! Allez au lit, mes petits anges !
Il essuyait la vaisselle, nous les entendions bien :
— Mais, ils baisent ! Ils pourraient nous attendre !
— Laisse-les s’amuser, notre tour viendra bientôt !
— J’ai la trique ! Il la fait jouir ! Écoute ça ! Il est dans sa chatte ?
— Je ne sais pas !
— On a fini ?
— Encore deux casseroles !
— Il remet ça ! Il a du tempérament !
— Tu baiseras Laurence en premier !
— D’accord ! Je l’enculerai directement ! Ça changera de sa chatte !
— Comme tu veux ! Allons-y !
Dans notre chambre, notre écolier n’avait pas fini :
— Il la sodomise ?
Nous nous déshabillions :
— Ça sera meilleur pour toi !
— Il fait durer !
— Laisse-le !
Je lui caressais le dos :
— C’est bon, mon chaton !
— Oh oui !
Je faisais aller et venir mon doigt dans l’anus, il mouillait abondamment, je le sentis jouir, quand il faisait l’homme, il ne piaulait pas quand il jouissait, il s’allongea sur le dos, nous les montâmes, je le fis piauler quand je l’enculai :
— Tu as bien baisé Laurence, mon chaton ! Tu l’as même enculée ?
— Elle m’a demandé !
Nous allions et venions ensemble en nous regardant :
— C’est bon de baiser ensemble !
— Elle était bien prête ?
— Ça glisse délicieusement !
— Tu peux remercier notre petit écolier !
— Il est trop gentil !
— Embrassons-les !
Nous nous étions synchronisés, elles gémissaient ensemble :
— Elles vont jouir en même temps !
— Faisons durer !
— Je ne vais pas pouvoir, mes couilles sont pleines à ras bord !
— Elles aiment la sodomie !
— Nous les faisons jouir, écoute-les !
— C’est le moment ! Vidons nos couilles !
Nous les défonçâmes, elles criaient de plaisir ensemble :
— Putain ! Tu as joui ?
— Je suis en train de jouir !
— Ça fait du bien ! On les échange ?
— Je finis de gicler !
— Elles vont nous sucer ?
— Si elles veulent baiser encore ! Nous devons recharger nos couilles !
Nous échangeâmes nos places, elles nous suçaient :
— Tu bandes suffisamment ? On y va ?
Nous les montâmes, je regrettais un peu la fellation, c’était moins fatigant, je me mis au travail dans la petite rondelle spermeuse de Laurence, elle me souriait en soupirant de plaisir :
— Tu m’as trompé, petit coquin !
— C’était trop bon !
— C’était mieux que moi ?
Je l’embrassai amoureusement :
— Tu es une vraie fille, c’est complètement différent !
— Nous vous faisons jouir ! Nous sommes pareilles !
— Tu préfères la grosse queue de Japy ?
— Elles sont identiques !
Elle gémit de plaisir :
— J’aime vos grosses queues ! Va plus vite !
Je parlais trop, nos deux voisins s’agitaient fortement, on était désynchronisés, j’aimais nous entendre, nos grognements, nos gémissements de plaisir, nous étions le même grand corps, nous étions remplis d’amour, nos peaux se frottaient l’une à l’autre, Japy grogna plus fort, il jouit avant moi, il continuait à aller et venir lentement :
— Ça fait du bien ! On échange nos places ?
— Je n’ai pas encore joui !
— Je t’attends ! Je vais te regarder !
— Espèce de voyeur !
Il me caressait les couilles, il me mit un doigt dans l’anus :
— Tu aimes ça ? Tu mouilles bien !
Je soupirai, il me fit jouir.
Nous nous faisions sucer, je caressais la tête du chaton :
— Je t’ai entendu jouir ! Tu bandes toujours ! Tu veux la baiser ?
Il releva la tête, il me souriait amoureusement, ses yeux brillaient :
— Va-z-y !
— Et moi ?
— Elles peuvent toujours sucer ! Ne t’inquiète pas !
Il se calma :
— Tu prends quelle bouche ?
Il avait déjà choisi la bouche du chaton, la plus commode :
— Il aime baiser et sucer en même temps !
— Il sait ce qui est bon !
J’avais ses fesses et son délicat petit anus, je l’enculai, il gémit sourdement de plaisir :
— Il peut baiser et aussi être sodomisé !
— Et sucer en même temps !
Je le sentis éjaculer :
— Il m’a pris mon tour !
— Tu veux ma place ? Il vient d’éjaculer !
— J’aime bien sa bouche et il aime bien mon sperme !
— Au début, Laurence le recrachait ! Elle disait que ça avait goût d’huitre !
— Elle préfère le sperme dans la chatte ! Il la sodomise ?
— C’est une soirée enculage ! On l’avait dit avant !
— Maintenant, elle avale ! Elle aime notre foutre !
— Elle a appris, au début, je l’ai forcée en lui pinçant le nez !
— Pour qu’elle avale ?
J’allais et venais plus vite :
— Je baise les deux ! Elles jouissent ensemble !
— Nous échangerons après !
— Si elles veulent bien !
— Elles sont à notre disposition ! Pour notre plus grand plaisir !
— Tu vas jouir ?
— Je suis tout proche !
— Allons-y !
Nous nous précipitâmes :
— Putain !
— C’est trop bon !
Nous nous retirâmes, nous embrassâmes tous les trois la bouche spermeuse et chaude de notre petit écolier, c’était délicieux, nous fîmes une pause, nous nous les partageâmes, nous les caressâmes, elles voulurent recommencer, elles nous branlèrent, puis, elles nous sucèrent :
— Je vais le sodomiser pendant qu’il la baisera, tu te feras sucer !
— D’accord ! Quand tu veux ! Tu es d’accord, mon chaton ?
— Mais oui, il est d’accord ! Il aime bien Laurence !
— Je peux la prendre par-derrière ?
— Bien sûr, mon chaton !
— Il aime son cul, retourne-toi !
Elle obéit :
— Laisse-lui le temps ! Tu es trop pressé ! Caresse-le, embrasse-le, sois tendre avec lui !
J’attendis qu’il l’enculât pour pouvoir profiter de sa délicieuse bouche, c’était notre petit outil de plaisir :
— Il gicle à chaque coup de reins !
— Il est adorable !
— Elle en a plein le cul de foutre !
Il le besogna longtemps avant de vider ses couilles, je pus enfin jouir, il avala le sperme avec gourmandise.
Nous fîmes une nouvelle pause, nos deux petites épouses de plaisir en voulaient encore, je devais m’occuper de la petite Laurence, nous l’avions délaissée, je la léchai soigneusement en lui mettant un doigt dans l’anus, elle ronronnait, puis, je lui fis un anulingus, c’était délicieusement spermeux, ça la fit jouir, pendant ce temps, Japy se faisait paresseusement sucer :
— Je vais la baiser, tu es d’accord ?
— Baisons-les, c’est ce qu’elles veulent !
Il l’enculait par-derrière, je l’enculais par-devant, nous les écoutions gémir, elles nous excitaient :
— Je vais jouir dans sa bouche, elle le mérite !
— Très bonne idée !
Je l’embrassais gentiment, je jouais avec ses gros seins en la pinant, elle criait de plaisir, notre petit écolier cria aussi plus fort :
— Elles jouissent fort ! Ça m’excite !
— Heureusement, nous n’avons pas de voisins !
— Tu vas jouir ?
— Je peux tenir longtemps !
— Nous avons le bon rythme !
Les cris augmentèrent :
— Elles font exprès !
— J’aime les entendre ! Faisons-les crier encore plus fort !
— D’accord !
Nous les défonçâmes vigoureusement, elles hurlaient, nous grognions en haletant, nous allions jouir, j’eus assez de temps pour jouir dans sa bouche, mais trop rapide, Japy manqua sa bouche :
— Tu nous as arrosé de foutre !
Il rit :
— C’est l’heure de dormir, les petits anges ! Mes couilles sont complètement vides !
Nous gardâmes nos jouets, elles étaient satisfaites, elles nous branlaient gentiment, nous nous endormîmes, la nuit fut tranquille.
Je préparais le café dans la cuisine, Thomas, complètement nu et turgescent, entra, je m’agenouillai et le suçai, son sperme délicieusement abondant jaillit dans ma gorge, je l’embrassai longuement, nous bûmes notre café :
— Tu es mon petit jeu, mon chaton !
— Je t’aime !
— Écoute-les, ils sont en train de baiser comme des fous !
— Je veux me faire baiser !
Je le retournai vers moi et lui soulevai les fesses, je l’embrochai, il m’enlaçait en allant et venant à son rythme, je le laissais faire, dans la chambre, ils avaient fini et ils nous observaient debout en buvant un café, moitié habillés :
— On vous a entendu ! C’était bon ?
— Il fait tout le travail !
— Il va à son rythme !
Japy se rapprocha de nous et baissa son caleçon :
— Il peut me sucer ?
— Essaye ! Grimpe sur la chaise, tu seras à la bonne hauteur !
— Vous êtes complètement fous, les gars ! Je vais me doucher !
Je soulevais d’avant en arrière avec les mains les fesses de Thomas :
— Elle est fâchée !
— Elle est jalouse !
— On va se faire pardonner en la baisant à trois !
Je jouis le premier, puis Japy jouit dans sa bouche, je me gardai le chaton :
— On vous a bien entendu baiser !
— C’était super bon, je l’ai fait crier !
— On a entendu !
Laurence revint complètement nue, encore humide :
— Tu es encore fâchée ?
— Je vous fais bander ?
Nous la regardions, fascinés, elle dansait devant nous en faisant bondir ses gros seins :
— Tu veux un café ?
Elle s’assit sur les genoux de Japy :
— Je veux me faire baiser seulement par Thomas !
— Et nous ?
— Vous vous débrouillerez !
Elle se vengeait, elle était encore fâchée, on n’avait rien fait de mal :
— On peut la violer !
— J’aimerais beaucoup ça, mais, vous ne le ferez pas !
— On pourrait sodomiser le chaton !
— Non ! Je vais vous sucer tous les trois ! Tous les trois ensemble !
Elle s’agenouilla :
— Venez ! Thomas, viens au milieu !
Elle avait deux mains et une bouche humide, elle pouvait nous satisfaire, notre petit écolier éjacula le premier dans sa bouche, elle avala tout le sperme, puis ce fut le tour de Japy et je jouis aussi sur son visage, elle continua à nous sucer et à nous branler après s’être essuyée les yeux :
— Je vais vous vider les couilles, les gars !
Notre petit écolier éjacula aussi sur son visage, ça l’amusait, nous nous branlions, nous fîmes pareil, son visage ruisselait de sperme, elle fermait les yeux et ouvrait en grand la bouche, nous nous agenouillâmes, nous la léchâmes, nous l’embrassâmes :
— Vous êtes dégueulasses, les gars !
Elle riait :
— Tu n’es plus fâchée ? Tu es belle comme ça !
— Je vais reprendre une douche ! Vous êtes contents ?