Les yeux dans les yeux, je sodomisais tendrement Thomas dans l’atelier, sur le vieux divan, c’était l’après-midi, il n’avait pas école, il gémissait comme une fille.
Il était venu pour se faire baiser, il venait souvent l’après-midi, j’aimais le voir pendant que je peignais, j’avais baissé son pantalon et je m’étais agenouillé, il bandait par anticipation, je pris dans ma bouche sa queue délicieuse, c’était une petite friandise, il enleva son t-shirt, j’enlevai son pantalon et ses tennis, il aimait se faire sucer, il posa ses mains sur ma tête, il se hissa sur la pointe des pieds et il jouit dans ma bouche, j’avalai tout le sperme, je l’embrassai. Je l’avais allongé sur le vieux divan, je m’étais déshabillé, il m’attendait, je l’avais sodomisé sans vaseline, il mouillait comme une fille. J’allais et venais lentement en bavardant :
— J’ai vu ton cousin ce matin ! Il est très mignon !
Il gémissait de plaisir :
— Laurence le veut ! Tu vas me faire jouir ! Petit fripon !
Je le pinais virilement, je le faisais crier de plaisir :
— Tu jouis comme une fille, mon chaton !
Je l’embrassai amoureusement, il avait goût de sperme, je me tus et le pinai plus vite en haletant, je giclai enfin dans son intestin en grognant, il m’embrassa, je léchai ses tétons, son ventre spermeux, il avait éjaculé pendant que je le sodomisais, et je le suçai en fouillant son anus, il jouit dans ma bouche, j’étais dur de nouveau :
— Tu veux encore ?
— Oh oui, encore !
— Petit gourmand !
Nous nous embrassâmes longuement, puis, je le pénétrai, il soupira de plaisir :
— Il est homosexuel, ton cousin ?
— J’aimerais bien, mais il a une copine !
J’allais et venais très lentement, je voulais bavarder un peu :
— Il a quel âge ?
— Deux ans de plus que moi ! Gamin, j’étais amoureux, on se masturbait, j’étais son élève !
— Il t’a sodomisé ?
— Il n’a pas osé !
— Tu aurais aimé ça ?
Il gémit de plaisir, nous nous embrassâmes :
— Il dort dans ma chambre !
— Vous vous masturbez toujours ?
— Je le suce, il aime beaucoup ça !
— Il jouit dans ta bouche ?
— Il n’embrasse pas après ! Tu vas me faire jouir !
J’allais et venais plus vite, je le regardai jouir :
— Tu es mignon, mon chaton ! Il va rester longtemps, ton cousin ?
Il jouissait encore en éjaculant :
— Tout le mois de juin ! Je t’aime ! Je t’aime ! Je t’aime !
— C’est bon, mon chaton ! Laurence plait à ton cousin ?
— Elle l’excite beaucoup ! Quand je le suce, il me parle d’elle !
— Il sait que tu la baises ?
— Il ne me croit pas ! Il dit que je délire !
— Tu peux lui montrer, il aimerait la baiser ?
— Il ne pense qu’à ça ! Il adore ses gros seins !
— Venez à la maison ce soir ! Il pourra la baiser !
— Elle voudra ?
— Il a une belle queue ?
— Oh oui !
— Il a de belles couilles ?
— Elles sont très grosses !
— Elle aimera ça !
— Continue ! Tu vas me faire jouir !
— J’aime te baiser !
Je lui défonçais la rondelle, je le faisais crier, il contractait fortement son petit orifice, il me fit jouir.
Le soir même, le jeune Thomas et son cousin vinrent à la maison, nous prîmes le digestif et nous fumâmes un joint, le cousin était très intimidé, il regardait attentivement Laurence, elle lui souriait, elle lui caressait la cuisse en bavardant, peut-être même la braguette, je ne voyais pas, j’avais pris Thomas sur mes genoux, il avait enlevé ses chaussures, je lui baissai son pantalon, je jouais distraitement avec son sexe dressé, puis, je le déshabillai :
— Allons dans la chambre, nous serons mieux !
Je lui chuchotai à l’oreille :
— Tu vas lui montrer, fais la jouir !
Dans la chambre, je me déshabillai, j’enlevai le vieux t-shirt de Laurence, elle s’allongea sur le dos, jambes ouvertes, elle mouillait abondamment :
— Tu es une petite coquine !
Je la caressais, le cousin, debout, enleva sa veste, il regardait Laurence, son corps nu, j’écartai ses jambes, agenouillé entre, Thomas la lécha, elle soupira, puis, il la grimpa, il la baisa, le cousin s’agenouilla sur le lit, il enleva ses chaussures, il enleva sa ceinture, il enleva son pantalon, il était très pudique, il n’enleva pas le slip, mais il déboutonna sa chemise, il écoutait Laurence jouir bruyamment :
— Tu prendras le relai après ?
— D’accord !
— Fais la jouir !
Il haussa les épaules :
— Ton jeune cousin se débrouille bien ! Il a le bon rythme !
— Il la baise souvent ? Il a beaucoup de chance !
Je lui caressais les couilles :
— Tu jouis, mon chaton !
Il reprit son souffle et il laissa la place :
— Tu peux y aller, elle t’attend !
Le cousin s’agenouilla entre ses jambes, ils se regardaient, il lui caressa les seins et son pubis épilé, elle baissa son slip et elle le branla, je les matais en me faisant sucer, il n’en pouvait plus, il se coucha sur elle et il la pénétra, elle soupira, c’était nouveau pour elle, il ne bougeait pas, il goûtait sa chatte, elle le laissait faire en me regardant, puis, il la baisa, il jouit très vite, il était très déçu, elle n’avait pas joui :
— On recommencera, mon chéri !
Il se retira et se déshabilla complètement, il n’était plus pudique, il voulait encore baiser.
Je lui léchais la chatte, c’était bien juteux, elle mouillait de l’anus, je faisais aller et venir mon doigt dans son orifice, je la fis jouir, je pouvais la monter :
— Tu es contente ?
Elle aimait se faire baiser par un nouveau et fougueux garçon, elle était toujours désirable, elle nous faisait bander, nous aimions ses gros seins et sa jolie petite chatte épilée.
Je la baisais virilement, le cousin nous matait en se faisant sucer par le jeune Thomas, elle jouissait bruyamment, nous aimions ses cris, elle le savait, elle en rajoutait, je jouis à fond en grognant :
— Tu la veux ?
Le cousin hocha la tête, je lui laissai la place, il prenait son temps, il suçait ses tétons en allant et venant lentement :
— Elle est bonne ?
— Ça faisait longtemps !
— Tu voulais une chatte ?
— C’est trop bon !
Je me faisais sucer :
— C’est bon, mon chaton ! il suce bien, ton jeune cousin !
— Il avale le foutre !
— Il aime le sperme !
— Il préfère les garçons !
— Il aime aussi les filles !
Le cousin n’en pouvait plus, il la pinait furieusement en la faisant jouir, il ne pouvait plus se retenir et il gicla en se tendant :
— Putain de bordel de merde ! Elle est trop bonne !
— C’est le tour de Thomas !
Il se retira :
— Je bande encore !
— Tu la baiseras encore ! Inquiète-toi pas !
— Elle voudra encore ?
— Regarde-la ! Elle aime se faire baiser !
— Tu as de la chance !
— Ton jeune cousin est en train de la faire jouir !
Je lui caressais les couilles :
— Lui aussi aime se faire baiser ! Tu devrais l’essayer !
— Tu l’as déjà enculé ?
Je faisais aller et venir mon doigt dans son anus :
— Il adore ça !
— Je ne suis pas pédé !
— Il te suce !
— Je jouis dans sa bouche !
Il avait un sourire idiot :
— Il avale tout !
— Ça te plait ? Ça va être mon tour, il vient de gicler !
Je commençai par lui lécher la chatte, j’aimais le jus de chatte spermeux, le cousin me désapprouvait :
— C’est sale !
— Tu te trompes, c’est trop bon !
Il jouait avec ses gros seins :
— J’aime ses gros seins ! Tu es un peu pervers ? Je n’aimerais pas que ma copine se fasse baiser par plein de gars différents ! Ça te fait bander ?
— Tu en profites ! Peut-être que ta copine aimerait ?
— Elle n’aime pas vraiment le sexe !
— Tu ne la fais pas jouir !
Je la grimpai :
— Elle, elle aime faire ça avec plusieurs garçons !
Je la baisais calmement :
— Ce n’est pas vrai, ma petite chérie ?
— Oh oui !
— Elle choisit les garçons ! Elle te voulait ! Tu le regrettes ?
— Oh non ! Mais je n’aime pas quand on me regarde faire l’amour !
— Moi, ça m’excite ! Tu peux la caresser, elle aime nos mains !
Son jeune cousin le suçait :
— Il est très tard ! Nous devons partir !
— Tu as assez de temps pour la baiser une dernière fois ? Je vais me presser !
— Merci !
— Ça va venir !
Elle criait plus fort : — Oh oui ! Oh oui ! Oh oui !
— Elle est très bruyante !
— On entend quand elle jouit !
Elle cria plus fort :
— C’est trop bon ! Va plus vite ! Va plus vite ! Va plus vite !
— J’aime l’entendre !
J’allais et venais à fond en râlant, elle criait toujours : La place est à toi !
Il la grimpa rapidement :
— La place est toute chaude ! Après, on s’en ira !
Le pauvre Thomas aurait encore aimé la baiser, pour le consoler, je le suçais, il jouit deux fois dans ma bouche avant que son cousin ait fini, ils se rhabillèrent et ils partirent, j’étais maintenant seul avec Laurence :
— Embrasse-moi ! Tu as goût de foutre, mon chéri !
— C’était bien ? Il t’a fait jouir ? Le cousin ?
Elle me souriait :
— C’était un peu rapide ! Il va revenir ?
— Si tu veux demain soir ? Japy sera là à la maison, tu auras quatre hommes !
— Oh mon amour, tu ne seras pas jaloux ?
— J’aime te rendre heureuse !
— Sodomise-moi ! Si tu baisais d’autres filles, je serais très jalouse !
Je forçais sans vaseline son petit anus frémissant :
— Je te fais mal ?
Elle grimaçait en gémissant :
— Un peu !
Je forçai encore, je me vengeais :
— Aïe ! Aïe ! Aïe !
— J’arrête ?
— Non, continue !
Je donnai un grand coup de reins, elle cria de douleur, j’étais à fond, je pouvais aller et venir rapidement, elle se tortillait, ses cris devenaient des gémissements de plaisir :
— Tu aimes ça, ma petite enculée ?
— Oh oui !
— Tu as eu mal ?
— C’est encore meilleur après !
— Tu mouilles beaucoup de l’anus, ça glisse bien !
— Tu vas me faire jouir !
— Heureusement ! Tu n’es pas jalouse quand je baise Thomas ?
— Il est trop mignon ! Il me baise aussi ! C’est équitable !
Elle ahanait en tortillant des fesses :
— Tu jouis, ma petite chérie ? Tu pourras te retourner, je vais te prendre par-derrière pour me finir !
Je pouvais aller et venir plus profondément :
— Tu sais, Thomas vient se faire baiser l’après-midi dans la grange !
— Je m’en doutais ! Il t’aime ! Tu préfères son cul ?
— C’est différent, tu es plus confortable ! J’aime ton cul !
— Je t’aime !
Nous nous embrassions, j’allais et venais plus vite, c’était l’heure de dormir pour nous, je jouis enfin, je m’endormis en me faisant branler gentiment.
Le lendemain matin, elle voulut me sucer avant de prendre sa douche, je buvais mon café en lui caressant les cheveux, je jouis dans sa bouche, elle avalait mon sperme en me regardant :
— Ce soir, tu auras quatre hommes, ma petite chérie !
Elle était très excitée d’avance.