Nous étions dans la cuisine chez Japy :
— Elle te plaît, Laurence ?
— Elle est très sympa !
— Elle te fait bander ?
— J’aime beaucoup ses gros seins !
Je lui demandai :
— Tu aimerais la baiser ?
— Bien sûr ! Tu as beaucoup de chance, tu peux la baiser tous les soirs ! Elle aime ça ?
— Elle adore ça ! Elle jouit très bruyamment !
— J’aime faire crier les filles ! Ça m’excite !
— Comme Annick ?
— Tu te rappelles ?
— Elle crie encore plus fort !
— Vraiment ?
— Si je te le dis !
— Tu ne sais pas comment c’est avec d’autres gars !
— Tu verras ça par toi-même ! Quand tu la baiseras !
— Tu es bien sûr que je pourrai la baiser ?
— Elle est venue exprès pour ça !
— Pourquoi ?
— Tu avais baisé Véronique !
— C’était super !
— Je t’avais sucé avant !
— Je me rappelle !
— Laurence veut que tu la baises ! Elle est jalouse !
— Je comprends ! Tu lui as tout raconté !
— Ça te dérange ?
— Au contraire ! Je vais en profiter ! Vous baisez beaucoup ?
— Tout le temps ! Elle est insatiable !
— Tu as de la chance ! Elle te suce ?
— Bien sûr !
— Elle avale tout ?
— Elle aime mon sperme !
— Tu es chanceux ! Tu la baises dehors ?
— Quelquefois ! Elle préfère me sucer dehors ou me branler discrètement !
— Je rêve ! Qu’est-ce qu’elle fait ?
À ce moment-là, Laurence sortit de la salle de bain moitié nue :
— Vous parliez de moi ?
On voyait son pubis :
— Il sait tout de toi !
Elle sourit malicieusement :
— Vraiment !
Elle m’embrassa goulûment, je caressais son pubis :
— C’est tout doux !
Je lui pelotai les seins sous son vieux t-shirt :
— Arrête ! Tu me fais fondre !
Elle se serra contre moi, je glissai une main entre ses jambes :
— Tu mouilles ? Ma petite chérie !
— Arrête ça ! Je vais me coucher !
Elle prit son sac :
— Je vous attends ! Les gars !
Nous nous douchions ensemble dans la salle de bain, nos sexes étaient dressés par anticipation :
— Je vais vraiment la baiser ?
— Presse-toi ! Elle va s’endormir !
— Ce n’est pas grave ! On la réveillera !
Il rit bêtement :
— On la violera !
— Je la baise souvent pendant qu’elle dort, ce n’est pas un problème !
— Elle ne se réveille pas ?
— Quelques fois ! Quand elle jouit ! Je la secoue !
— Elle crie ?
— Elle gémit !
— C’est différent ! Je la préfère réveillée, c’est plus amusant !
— Ne t’en fait pas !
Nous allâmes dans la chambre, j’étais complètement nu, Japy avait un caleçon fleuri rose :
— Tu vas l’enlever ?
— Si c’est nécessaire !
Laurence dormait, allongée sur le ventre, les fesses à l’air :
— Elle dort vraiment ?
Nous nous couchâmes, elle était entre nous deux :
— Elle a de belles fesses rondes ?
— Je les adore ! Mais, elle dort !
— On va voir ça !
Je lui caressais ses jolies fesses rondes :
— Elle fait semblant ! Elle se fait désirer !
Il lui caressait les fesses, elle rit :
— Vous me chatouillez !
Elle se retourna sur le dos :
— Vous avez pris votre temps !
— Coquine ! Japy aime tes jolies petites fesses !
Je caressai son pubis :
— Regarde comme c’est joli, une jolie chatte épilée !
Elle écarta un peu les jambes et elle soupira :
— Tu as une lumière plus douce ?
Il alluma la lampe de chevet et il se leva pour éteindre la lumière du haut, son gland dépassait de son caleçon fleuri, j’avais remonté le vieux t-shirt de Laurence, dévoilant ses seins :
— Tu aimes ses seins ?
Il remonta son caleçon et il s’agenouilla :
— Tu peux les toucher !
Il hésitait encore, il tirait la langue, je suçais un téton :
— C’est très bon !
Il lui pelota un sein :
— Bon dieu ! C’est magnifique ! J’aime ses gros seins !
Nous suçâmes ses tétons pendant que je caressais sa chatte, elle écarta en grand ses jambes et elle soupira de plaisir, elle se laissait faire, Japy savait maintenant qu’il la baiserait, il se détendit, il lui pelotait les seins, il adorait ça :
— Tu aimes ses gros seins souples ?
Il grogna, je le laissai s’occuper des seins et je descendis lui lécher la chatte, elle frissonna de plaisir, elle aimait nos mains, elle aimait ma langue, elle gémit de plaisir :
— Viens voir sa jolie petite chatte !
Il obéit :
— Touche-la !
Il la caressa :
— Tu sens comme elle mouille ?
— C’est tellement doux !
— Lèche-la !
Il obéit encore, elle nous masturbait, une main dans le caleçon fleuri rose de Japy, il la léchait toujours :
— C’est super bon ?
Il grogna :
— Tu peux la baiser ! Elle est complètement prête !
Il enleva son caleçon, il grimpa sur elle, il guida fiévreusement dans la fente son gland gonflé violacé, quand il la pénétra, ils soupirèrent d’aise, au début, il allait et venait lentement, couché de tout son long sur elle, elle empoigna fortement ma queue dressée, puis il s’appuya sur les deux mains et la pina très rapidement, maintenant, je pouvais lui peloter les seins, mais il jouit vite en grognant et il s’effondra lourdement sur le corps chaud et frémissant :
— Tu as fait ça vite !
— J’étais trop excité ! C’était trop bon ! Je n’avais pas baisé une fille depuis longtemps ! C’est parti trop vite !
— Libère la place ! J’ai les couilles pleines !
Enfin, je pus la monter, elle n’avait pas joui, mais sa chatte était juteuse, elle se tortillait en gémissant de plaisir pendant que je la pinais :
— Oh oui ! Oh oui ! Oh oui !
Elle bougeait les hanches d’avant en arrière :
— Je vais jouir ! Je vais jouir ! Je vais jouir !
Je galopais :
— Tu me fais jouir !
Elle criait de plaisir :
— Je jouis ! Je jouis ! Je jouis ! Oh mon amour ! Je t’aime ! Je t’aime ! Je t’aime !
J’éjaculais en la secouant virilement, Japy se branlait en nous matant, je reprenais mon souffle :
— On a joui ensemble, ma petite chérie !
Je l’embrassais longuement en lui empoignant ses gros seins :
— Tu veux encore ?
— Oh oui !
Je me retirai :
— Va-z-y !
Il ne se fit pas prier et il la monta, il la baisait calmement, il était très sérieux, j’aimais les regarder, Laurence essayait de me branler, je préférai guider sa petite main chaude, elle recommença à gémir, elle en rajoutait :
— C’est trop bon !
J’étais un peu jaloux, il allait la faire jouir, il pinait plus vite, ça sentait bon le foutre, il soufflait fort :
— Il te baise bien, ma petite chérie ?
Il la faisait crier :
— Tu la fais jouir !
— Ça s’entend !
Ses cris de plaisir nous excitaient, je voulais sa chatte, elle grimaçait par le plaisir, c’était le galop final, Japy s’arc-bouta au-dessus d’elle :
— Putain ! C’est encore meilleur !
— Elle est bonne ! Hein ?
Il rebondissait sur son corps chaud et agité :
— Putain ! C’est trop bon ! Je gicle encore !
Il chercha ses lèvres et l’embrassa, elle l’embrassa aussi ! Il laissa enfin la place.
Je lui léchai la chatte, elle avait goût de foutre :
— Viens !
Elle me voulait :
— Tu l’as embrassé ?
Elle renifla :
— Il m’a fait jouir !
J’allais et venais à fond :
— Et tu l’embrasses !
— C’est sa faute ! Oh oui ! Oh oui ! Oh oui !
— Je vous pardonne ! Vous ne recommencez pas !
— Oh oh oui !
— J’aime ta petite chatte !
— Continue ! Je vais jouir ! Je vais jouir ! Je vais jouir !
Elle bougeait les hanches d’avant en arrière rapidement, je la bloquais sous tout mon poids, elle gémissait, révoltée :
— Doucement, ma toute belle !
— J’allais jouir !
Je recommençai à piner, j’arrêtais d’aller et venir quand elle allait presque jouir, puis je recommençais, elle n’en pouvait plus, elle pleurnichait lamentablement, j’aimais jouer avec elle, je la soumettais à mon plaisir, mais cette petite pute contractait fortement son délicieux vagin spermeux, j’allais gicler, je pris le galop, elle hurla de plaisir :
— Je jouis ! Je jouis ! Je jouis !
Je la défonçais virilement, j’éjaculai interminablement en m’arc-boutant, je me vidais les couilles, elle soulevait ses hanches, je l’embrassais alors que je giclais encore :
— Je t’aime ! Tu m’as fait jouir !
Nous nous mignotâmes, nous nous bécotâmes :
— Je t’aime !
— Je t’aime !
Japy, délaissé, s’impatientait, c’était la pause.
On la caressait, elle avait écarté en grand les jambes nous offrant sa jolie chatte juteuse, on lui caressait les seins, on lui caressait la chatte, on la léchait, je l’embrassais, ses phéromones puissantes nous faisaient bander, elle nous branlait en ronronnant, elle commença à sucer Japy, il gémissait de plaisir :
— C’est bon ?
— Oh oui !
Il lui caressait la tête, je lui caressais les fesses, elle écarta les jambes, elle voulait autre chose, je lui mis un doigt dans la chatte, elle se trémoussa, elle voulait ma bite, je lui mis un doigt dans le cul, elle mouillait abondamment de l’anus, je fis aller et venir mon doigt, elle bougeait son cul d’avant en arrière, j’aurais pu l’enculer, je choisis sa chatte, je la pénétrai par-derrière, je la baisais par-derrière en lui titillant le clitoris pendant qu’elle suçait, je la ramonais lentement, je ne voulais pas trop la distraire, quand Japy éjacula, elle avala tout, il était aux anges, maintenant, je pouvais la baiser, je lui défonçais la chatte en la faisant jouir, elle hoquetait en avalant encore le foutre, je jouis à mon tour :
— Je n’en peux plus !
— Mes couilles sont vides !
On éteignit la lumière et on s’endormit, je fus réveillé au milieu de la nuit par un gémissement, discrètement, Japy la baisait par-derrière, elle se laissait faire ! La petite pute ! J’étais un peu vexé, je lui pelotai le sein, elle empoigna ma bite, elle jouit en silence, quand il jouit à son tour, je pus me rendormir, je la bisai avant.
Le lendemain matin, moi et Japy buvions le café dans sa cuisine :
— C’était vraiment super !
— Tu as aimé ?
— On recommence quand ?
— Ce matin ! Je la baise tous les matins sur la table de la cuisine puis je jouis dans sa bouche ! C’est le petit déjeuner !
— Tous les matins ?
— Érection matinale ! C’est hygiénique ! Je me vide les couilles ! Sinon, je peux gicler en pensant à elle !
— Je comprends ! Tu n’as pas de slip !
— Elle mouille trop, elle le tache !
— Ha !
— Tu devrais enlever ton caleçon !
— Tu crois !
Laurence s’était réveillée, elle alla à la salle de bain :
— Elle voudra ?
— Tu bandes ?
— Regarde !
Il baissa son caleçon :
— Tu préfères la baiser ?
— Bien sûr !
Elle sortit de la salle de bain :
— Il y a du café ?
Elle s’assit sur mes genoux :
— Vous m’avez fait jouir cette nuit, les gars !
Elle bavardait, je lui caressais la chatte :
— Tu es un vilain garçon !
— Tu mouilles, vilaine petite fille !
Elle rit, je remontai son t-shirt :
— Japy aime tes gros seins !
— Ça le fait bander ?
Il se leva et enleva son caleçon :
— J’aime vous faire bander !
Je la basculai sur la table :
— Tu as un coussin ?
Je le glissai sous ses fesses :
— Elle est à ta disposition !
— Merci !
Il commença par la caresser, les gros seins souples, puis, il écarta les jambes et découvrit la jolie petite chatte, sa queue bondit en avant, du sperme perlait sur son gland, il remonta ses jambes et il la pénétra en tirant la langue, je me faisais sucer, je caressais les cheveux blonds de ma princesse, elle me regardait amoureusement, mais Japy la bousculait virilement, il la fit jouir, il oublia sa jolie petite bouche et gicla prématurément dans sa jolie petite chatte épilée, je la baisais à mon tour, mais, je n’oubliai pas sa gorge profonde, elle ouvrait sa bouche en m’attendant, je jouis dans sa bouche pendant qu’elle me regardait amoureusement et qu’elle avalait.