J’écoutais leur respiration saccadée, je les regardais dans la pénombre de la lampe de chevet, il n’y avait pas eu de préliminaires, Japy voulut la baiser tout de suite, il n’en pouvait plus, il allait et venait rapidement, il haletait, Laurence cria, il la faisait jouir, je lui pris la main, elle était belle quand elle jouissait, elle était ailleurs, elle grimaçait, il la secouait, il allait jouir, il allait et venait plus vite, je lui empoignai les couilles, elles se vidaient par saccades, Laurence jouissait encore.
J’attendis un peu qu’ils reprissent leur souffle, il me laissa la place, je la grimpai, sa chatte était spermeuse et chaude, elle était toute molle, la bouche grande ouverte, les yeux noyés de larmes, elle ne souriait pas, elle soupira lascivement quand je la pénétrai, je la baisais en silence, Japy nous regardait en se branlant doucement, j’allais et venais doucement et profondément entre ses reins, elle gémissait faiblement, je faisais durer, elle gémissait plus fort, elle se tendit, ses yeux devinrent vitreux, elle cria :
— Oh oui ! Oh oui ! Oh oui ! Je jouis ! Je jouis ! Je jouis !
J’accélérai, je la secouais, elle cria plus fort, j’aimais l’entendre, nous aimions l’entendre jouir très fort, je grognais, je ne me retenais plus, j’inondai de foutre son délicieux vagin.
Japy la chevauchait à son tour, je lui caressais les couilles, elles frémissaient, chaudes et froides, il aimait ça, Laurence ne faisait rien, elle subissait passive, je l’embrassais, elle haletait en saccade, elle allait encore jouir, Japy se précipita, il la fit crier, je me branlais en les matant, je devrais assurer après qu’il eut joui, il la pina longtemps avant de gicler, elle jouit plusieurs fois en nous assourdissant, nous nous taisions, il se retira, je la chevauchais de nouveau, elle gémissait interminablement en suffoquant, sa chatte débordait de foutre, j’étais très concentré, je la pinais sérieusement, elle jouissait silencieusement, passive :
— Elle ne crie plus !
— Elle a trop crié ! Elle est essoufflée !
J’allais et venais mécaniquement :
— Elle aime ça !
— Tu es long !
— Caresse-moi les couilles !
— Je ne suis pas un pédé !
— Elle ne peut pas le faire ! Fais-le !
— Tu aimes ça !
— Tu ne détestes pas ça quand je te le fais !
— Tu vas jouir ?
— Ça aide !
J’allais et venais plus vite, je la fis crier, je jouis enfin.
C’était la pause, nous bûmes un verre de vin, nous fumâmes un joint, Laurence était inerte, nous la caressions, nous écartâmes ses jambes, nous jouâmes avec sa jolie chatte spermeuse, je la cunnilinguai jusqu’à ce qu’elle jouît pendant qu’il lui pelotait les seins :
— Lèche-la, maintenant !
Il hésitait :
— Tu verras, c’est bon !
Pendant qu’il la léchait, je le suçais, il devint dur :
— Tu peux la baiser !
Il aimait la lécher, les phéromones sexuelles l’excitaient, mais, surtout la fellation, il bougeait les hanches d’avant en arrière :
— Si tu continues, tu vas jouir dans ma bouche !
Il grogna :
— Jouis dans sa petite chatte !
— D’accord !
Il la grimpa :
— C’est mieux dans la chatte !
Il allait et venait trop rapidement, il éjacula vite :
— Elle est très bizarre ! Elle est comme morte ?
— Ne t’inquiète pas ! Elle aime être notre jouet ! Profitons-en ! Je vais te montrer !
Je la montai et me branlai entre ses gros seins :
— Tu connais ça, la branlette espagnole ?
Il ouvrit de grands yeux :
— Putain ! Je veux le faire !
— Tu peux resserrer ses gros seins, comme ça, c’est meilleur !
— Tu vas gicler ici ? Elle ne va pas aimer ça !
— Moi, je vais aimer ça !
Je me redressai et guidai mon foutre sur son visage :
— Tu es dégueulasse !
— Oui, mais c’est bon ! Tu veux la place ?
Il s’amusait :
— C’est trop bien ! Il faut que la fille ait des gros seins !
— Laurence te satisfait ?
— C’est super !
Il s’activait, très excité :
— J’adore ses gros seins !
Il éjacula aussi sur son visage :
— Tu es aussi dégueulasse que moi !
— C’est trop bon !
Elle fermait les yeux et elle léchait notre sperme :
— Elle est belle comme ça ! Pauvre petite Laurence !
Je la léchais :
— Tu aimes le foutre ?
— Sur son visage, dans sa petite chatte !
Je l’embrassai longuement :
— C’est mon tour de la baiser ! Tu peux me sucer ?
— Je ne suis pas pédé !
— Je te sucerai après ! Tu en auras besoin !
— D’accord ! Mais, je ne suis pas pédé !
— Nous baisons une fille !
Il me branla, puis, il décida de me sucer pendant que j’embrassais la petite Laurence et que je lui pelotais les seins, il suçait bien et il n’oubliait pas mes couilles :
— Je vais jouir dans ta bouche !
— Tu es complètement fou ! Baise-la, maintenant !
Je ricanai, puis, je la pinais, je jouis vite :
— Elle a joui ?
— Je ne sais pas, je m’en fous !
— Tu m’avais dit que tu me sucerais !
— Tu veux toujours ?
— Tu m’avais promis ! Moi, je t’ai sucé !
— D’accord !
Il aimait ça, il pelotait les seins de la petite Laurence et il me laissait faire :
— Tu aimes sucer !
Je ne répondis pas, je jouais avec lui, avec son gland, avec ses couilles, il gémissait de plaisir en bougeant ses hanches d’avant en arrière, je lui mis un doigt dans l’anus, il s’arc-bouta, il jouit dans ma bouche.
Je dormais, je fus réveillé au milieu de la nuit par des gémissements, Laurence se faisait baiser par-derrière sur le côté, je l’embrassai, je me masturbai avec sa petite main, je jouis sur son ventre, nous nous rendormîmes.
Le matin, je buvais mon café dans la cuisine, j’entendis du bruit et de l’agitation dans notre chambre, Laurence se faisait baiser, je n’étais pas jaloux, j’aimais l’entendre jouir bruyamment, quand ils eurent fini, elle alla à la salle de bain, Japy, tout rouge, me rejoignit dans la cuisine :
— C’était bon ? Je vous ai entendu !
Il haussa les épaules :
— Tu la baises tous les jours ! Quand je suis ici, j’en profite !
— Tu l’as baisée cette nuit ! Vous m’avez réveillé !
— J’avais trop envie d’elle !
— Vous m’avez excité, je me suis branlé !
— Ses seins étaient mouillés !
— J’ai joui sur son ventre !
— Et sur ses seins ! Tu aurais pu attendre un peu ?
— J’avais très sommeil ! Je l’ai aspergé, je ne voyais rien dans le noir !
— On s’est bien amusés cette nuit !
— Tu as joui dans ma bouche !
— Tu as tout avalé !
Encore mouillée, Laurence entra dans la cuisine, elle s’assit sur mes genoux :
— Vous aimez vous sucer, les gars !
— C’est ta faute ! Tu ne nous faisais rien !
— Je voulais écarter les jambes et me faire baiser, j’étais très fatiguée ! je ne voulais rien faire !
— Pauvre petite chérie ! On t’a fait jouir ?
— Oh oui, les gars !
— Tu as aimé la branlette espagnole ?
Elle rit :
— Vous vous êtes amusés !
— Tu es fâchée ?
Elle m’embrassa amoureusement :
— J’aime vous faire jouir avec mes gros seins !
— Je voudrais les voir !
Je remontai son t-shirt :
— C’est mieux ?
Je jouais avec en les faisant rebondir :
— J’ai aimé me branler entre tes gros seins ! C’était très excitant !
— Tu as joui sur mon visage !
— C’est Jean-Jacques qui a commencé, tu es fâchée ?
— Vous m’avez punie !
— Tu fermais la bouche !
Je titillais son clitoris :
— Vous êtes des vilains garçons ! Je vous aime ! Tu me fais jouir !
Elle se tortillait sur mes genoux :
— J’aime éjaculer sur son visage, on pourra recommencer ?
— Je ne sais pas, tu aimes m’humilier ?
— Ça m’excite !
— C’est pas gentil !
— C’est tellement drôle ! Tu fais une drôle de grimace !
— Jean-Jacques a le droit ! C’est mon amoureux !
— C’est pas juste !
— Il me lèche après !
— Il aime le foutre !
— Tu peux me baiser !
— Maintenant ?
— Tu ne bandes pas ?
Il se leva et il baissa son caleçon :
— Regarde !
Il débarrassa la table :
— Allonge-la !
— Si tu veux me baiser, déshabille-toi !
Il la pinait en lui soulevant les jambes, je me faisais sucer en jouant avec ses seins :
— Tu la secoues trop !
— Je veux la faire jouir !
— Elle ne peut pas sucer ! Prends ton temps !
Il se calma :
— J’aime sa chatte !
— Tu peux jouir dans sa bouche !
— Non merci !
— Comme tu veux !
Il la faisait jouir, au lieu de me sucer convenablement, elle criait de plaisir, je la bâillonnais avec mon sexe, quand il éjacula, elle put me sucer, Japy allait et venait lentement :
— J’ai encore envie, je prendrai sa bouche !
— Elle aime notre foutre, c’est une bonne petite !
Mes couilles bourdonnaient, j’allais gicler, je me retirai, elle ferma la bouche, j’éjaculais en me branlant sur ses yeux fermés, sur son petit nez, sur son front, sur ses joues rondes, sur ses lèvres roses, je l’arrosais de foutre :
— Ça t’excite ?
— Tu as beaucoup de sperme !
— Je ne l’ai pas baisée ce matin comme toi ! J’ai les couilles pleines !
— Tu l’as bien arrosée ! Elle est belle comme ça !
Je me penchai pour lécher ses yeux :
— Tu as fermé la bouche !
— Elle a fait exprès !
Il allait et venait plus vite :
— Je vais faire comme toi !
Elle jouit en ouvrant la bouche, j’en profitais pour entrer mon gland, elle le suça, je reprenais des forces pour pouvoir la baiser :
— Tu me laisses la place !
— Tu veux jouir sur son visage ?
— Tu as tout deviné !
Je la baisais à mon tour, il se branlait en ciblant son visage, elle ouvrait la bouche, mais il éjacula en ciblant ses yeux :
— Putain ! C’est trop bon !
— Tu vas la lécher maintenant !
— Non ! C’est dégoûtant !
— C’est ton sperme !
— C’est aussi ton foutre ! Je ne veux pas !
— Elle ne voudra plus que tu la baises !
— Je peux l’essuyer !
— Ce n’est pas du jeu !
Il se pencha et donna un coup de langue :
— Va-z-y !
J’allais et venais plus vite :
— Lèche son visage !
Il se décida, il commença par les yeux, son sexe se redressait, il lécha son nez :
— Ça t’excite !
Il se faisait branler :
— Elle est toute propre !
— Bravo ! Tu as bien travaillé ! Ce n’était pas difficile !
Il grogna, il se faisait sucer en jouant avec ses gros seins, je la baisais doucement :
— On peut éjaculer ensemble sur son visage ? Tu as encore du foutre ?
— Bien sûr ! Attends un peu !
— Je ne me presse pas ! Je t’attendrai ! Tu me diras !
— Je ne la lècherai pas !
— Comme tu veux ! Tu perdras quelque chose ! Tu es prêt ?
— D’accord !
On se branlait ensemble, elle fermait les yeux, on jouit simultanément.