Japy me téléphona au travail :
— Je n’en peux plus ! Il faut que je baise !
— Ce sont les pilules magiques ! Je t’avais prévenu !
— Je peux venir ce soir ?
— Tu voudrais te vider les couilles ?
— J’en ai marre de me branler !
— Combien de fois par jour ?
— Je ne sais pas ! Plus de dix fois !
— Viens ! On t’attendra !
— Ça sera tard ! J’ai beaucoup de travail !
Je baisais Laurence, on l’avait attendu, il était plus de onze heures, on frappa à la porte, je criai sans arrêter d’aller et venir :
— C’est ouvert !
J’allais jouir, Japy entra dans la chambre et il se déshabilla rapidement alors que je giclais encore, je lui laissai la place, il la monta rapidement et jouit presque instantanément, sans prendre une pause, il continua à aller et venir, il ahanait, il fit jouir Laurence, elle criait de plaisir, il aimait l’entendre, il la secouait violemment, je me consolais avec sa petite main chaude en me branlant, ils m’excitaient, je les matais, j’aimais la voir jouir, ma main et Japy s’activaient, nous jouîmes ensemble, je les arrosais de foutre, ils continuaient, maintenant, Japy la baisait lentement, ses couilles encore pleines, il reprenait son souffle, je voulais la baiser :
— Presse-toi ! Je la veux !
Il n’écoutait pas, il allait et venait dans la petite chatte, il était hébété, il la pinait comme un zombi, j’étais jaloux, il se l’appropriait et elle jouissait, je n’avais que la main pour me branler, je voulais ses gros seins et sa jolie petite chatte épilée, il la baisait mécaniquement, il la faisait jouir, elle ne criait plus, le rythme s’accélérait, je n’existais plus, il soufflait, il grognait, elle haletait, je me branlais avec sa petite main inerte, je pensais alors qu’il la baiserait toute la nuit, puis, il se tendit, il allait et venait plus vite, il la secouait violemment, il cria, il éjaculait enfin.
Il se releva, il libéra la place, je la grimpais aussitôt, sa chatte était chaude et gluante, Japy se rhabillait, sa queue toujours bandée était gluante :
— Je m’en vais ! Je travaille très tôt !
Je m’en foutais, je la baisais, la porte d’entrée claqua, je pinais sa petite chatte juteuse, je jouis très vite, j’avais prêté ma petite copine, il avait saccagé sa chatte :
— Il est venu seulement pour se vider les couilles !
— C’était trop bon !
Elle avait aimé ça, la petite pute !
— Il t’a baisé pendant plus d’une heure !
Je continuais à aller et venir doucement :
— Je me suis branlé pendant ce temps !
— Tu exagères ! Tu nous matais !
— Tu as aimé beaucoup ça ! Tu as beaucoup joui !
— Heureusement ! Tu es jaloux ?
Elle souriait, je grognais, j’allais et venais rageusement, elle soupira :
— Sodomise-moi ! Mon chéri !
Elle me surprenait, je ne me fis pas prier, il n’avait pas pénétré son délicieux petit anus, mon gland gonflé força la petite entrée resserrée, elle gémit délicieusement, elle aimait se faire enculer, j’aimais l’enculer, je pompais, elle se liquéfiait :
— Oh, mon amour !
Elle jouissait silencieusement en pleurant, je la besognai longtemps avant de jouir à fond, elle tremblait fortement après, nous nous endormîmes.
Je la baisai par-derrière au milieu de la nuit sans la réveiller et je me rendormis.