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Laurence se fait baiser en levrette
par Japy

Le vendredi soir, au bar, on attendait Laurence :

— Elle est d’accord ?

— Je ne sais pas !

— Tu rigoles !

— Tu lui demanderas ! Ce n’est pas moi qui me fais baiser !

— Je me branle en pensant à elle tous les matins !

— Je lui dirai !

— Tu ne le feras pas ça ?

— Elle aimera ça !

— Tu penses ?

— Bien sûr ! Ça va l’exciter !

— Tu l’as baisé ce matin !

— Tous les matins, et je jouis dans sa bouche !

— Ce matin, je me suis branlé !

— Ça vide les couilles !

— Je préfère une chatte !

— J’aime me branler ! Ça change un peu !

— Tu es idiot ! Tu baises tous les jours !

— Tu te branles souvent ?

— Matin et soir !

— Combien de fois ?

— Cette semaine, beaucoup trop ! Je pensais à la chatte de Laurence !

— Et à ses gros seins ?

Il rit :

— Elle aime la branlette espagnole ?

— Je ne sais pas, mais moi, j’aime ça !

— Et la levrette ?

— Elle adore ça, elle peut sucer en plus ! Mais elle aime la position du missionnaire, elle aime sentir le poids de l’homme allant et venant sur elle ! Tu veux tout le mode d’emploi ?

Il hocha la tête :

— Pour commencer, elle préfère se faire monter, après, on la prendra en levrette, elle aura bien joui, on pourra s’amuser ! On aura accès à ses gros seins pendants, à son mignon petit clitoris, à sa bouche juteuse ! On ne s’ennuiera pas ! Ça te plaît ?

— Tu as des pilules magiques ? On pourra la baiser toute la nuit !

— C’est dangereux !

— Ça fait bander ! On fera un concours ?

— D’accord !

— Pourquoi ça serait dangereux ?

— Tu vas bander pendant quinze jours !

— Ce n’est pas grave !

— Comme tu veux ! Moi, je pourrais baiser Laurence !

— Je me branlerai ! Ne t’en fais pas !

— Je penserai à toi ! Elle arrive enfin !

On alla au restaurant, je mis les pilules magiques dans la bouteille de vin, on retourna à la maison, Laurence entre nous deux :

— Venez par là !

Dans une petite rue sombre, elle s’agenouilla, nous sortîmes nos bites, elle nous suçait alternativement en nous branlant, Japy gicla en premier rapidement, je le suivis de près, nous la relevâmes, je l’embrassai :

— Tu peux l’embrasser !

Il hésita :

— Elle a goût de foutre !

On la porta jusqu’à la porte de la maison en la titillant, elle voulut se faire baiser dans la cage d’escalier de la maison, c’étaient les pilules magiques, on souleva sa jupe, on enleva sa petite culotte, pendant que Japy la baisait en levrette, j’extirpais ses seins pendants et cherchais sa bouche, puis, on changea de place, elle était complètement nue, on entendit un bruit de pas dans l’escalier, j’éjaculais encore dans sa petite chatte, quand j’eus fini, on entra dans la maison en riant comme des fous :

— C’était le voisin !

On but du thé au cannabis, puis, on se doucha ensemble dans la baignoire en se tripotant, on préféra la baiser au lit, Japy commença, elle devenait folle, elle criait de plaisir, à mon tour, je la fis crier, nous aimions beaucoup ça, elle jouissait très bruyamment, ça nous excitait, elle était totalement désinhibée, nous la caressâmes :

— On va te prendre en levrette, ma petite chérie !

On la mit à quatre pattes, on joua avec elle, avec ses gros seins, avec son petit clitoris, elle voulait se faire baiser, on lui mit un doigt dans la chatte, elle gémissait d’impatience :

— Baise-la ! Elle souffre !

— D’accord !

Elle soupira :

— Elle aime la levrette !

— Tant qu’on la baise !

Je me faisais sucer :

— Tu peux jouir dans sa bouche !

— Je ne sais pas, j’aime beaucoup sa chatte !

Il la baisait vigoureusement en levrette en lui bloquant les hanches :

— Tu fais comme tu veux !

— Elle va jouir ? Elle ne crie pas !

— Elle me suce ! Elle a la bouche pleine !

Il la défonça, il voulait la faire crier, elle arrêta de me sucer et elle cria de plaisir :

— Tu la fais jouir !

— J’aime l’entendre ! C’est beau !

Il galopait :

— Putain ! C’est trop bon !

Il me laissa la place, je pris mon temps, c’était un beau spectacle, un cul magnifique, un petit anus frémissant, une petite chatte rougie dégoulinante, je caressais tout ça, elle s’impatientait en tortillant ses hanches, je mis un doigt dans sa chatte juteuse, elle soupirait d’impatience, je mis un doigt dans son anus, elle bougeait les hanches d’avant en arrière tout en suçant Japy, mon gland trouva l’entrée de son vagin humide :

— C’est une bonne petite !

je lui giflai les fesses :

— Elle peut satisfaire deux gars en même temps !

— J’aime ses seins pendants !

Il lui caressait la tête :

— C’est bon, ma belle !

— Elle suce bien ?

— Elle me regarde, la coquine !

J’allais et venais lentement :

— Je lui laisse le temps de te faire jouir ! Elle jouira après !

— Merci !

Il s’enfonçait dans sa gorge, elle lui caressait les couilles, il se précipitait en s’arc-boutant, il éjacula :

— Elle avale tout, la petite !

Je pouvais la défoncer, je la fis jouir :

— Je vais gicler dans sa bouche !

— Elle ne veut plus sucer !

— C’est normal, elle jouit !

Il se branlait :

— Je vais te laisser la place ! Tu vas assurer ?

— Attends un peu !

— Je peux te sucer ?

— Non merci !

Elle fermait la bouche, je jouis sur son visage en me branlant :

— Ma pauvre chérie !

— Tu es dégueulasse ! Tu aurais pu jouir dans sa chatte !

— Elle a fermé la bouche !

Il la baisait de nouveau :

— Elle a fait exprès !

Elle fermait les yeux, je léchai ses paupières, elle me souriait :

— Elle est satisfaite, la petite coquine !

— Si tu le dis !

Je l’embrassai :

— Elle aime nous faire jouir ! Elle aime notre foutre !

— Moi, j’aime sa chatte !

Elle léchait mon gland :

— Tu sens bon le foutre, ma petite chérie !

Il allait et venait plus vite :

— J’aime la prendre en levrette ! J’aime faire balancer ses gros seins pendants !

J’allais et venais à fond dans sa gorge chaude jusqu’à la garde :

— Tu vas jouir ?

— Je sens que ça vient ! Elle jouit ?

— Je ne sais pas ! On s’en fout ! On gicle à deux sur son visage ?

— Elle veut bien ?

— Elle t’attend !

On se branlait ensemble, elle fermait la bouche en attendant les giclées, elle fermait les yeux, on jouit ensemble, elle tirait la langue :

— Ouf ! C’est trop bon !

Elle avait du foutre sur son petit nez, sur ses joues rondes, sur ses cheveux blonds, sur ses paupières :

— Elle est belle comme ça !

On la fit allonger sur le dos, je lui léchai ses paupières :

— Il lui faudrait des lunettes !

— Tu aimes le foutre ? Beurk !

— Tu n’es pas gentil ! Tu aimes quand elle avale ?

Il la caressait, les seins et l’entrejambe :

— C’est tout gluant !

— J’aime l’odeur de foutre !

— Tu es spécial !

Je le branlais :

— Tu peux encore la baiser ?

— Continue !

Il aimait se faire branler :

— Je voudrais l’embrasser ?

— Va-z-y !

Il bandait fortement :

— Tu aimes bien le sperme ?

— Dans sa bouche !

Je le suçai un peu :

— Baise-la maintenant !

Il la monta :

— Oh, c’est bon !

Ma petite chérie me regardait amoureusement pendant qu’il la baisait :

— Tu aimes ça ?

Il la secouait un peu :

— Oh oui !

Je me branlais avec sa petite main :

— Tu vas jouir ?

Elle gémissait de plaisir :

— Il te fait jouir ! Regarde-moi !

Ses yeux devinrent vitreux :

— Je te baiserai après !

Japy s’énervait, il voulait faire crier, mais, elle jouissait en silence, elle grimaçait en râlant et en tournant la tête, je lui pinçais les tétons, il la secouait violemment, il allait éjaculer :

— Putain !

Je la grimpai à mon tour, elle s’arc-bouta pour m’accueillir :

— Ma petite chérie !

Je me frottais contre elle, sa chatte était brûlante et fondante :

— Je t’aime !

Je la bisais :

— Tu jouis encore ?

— Je veux jouer aussi avec ses gros seins souples et bondissants !

Je me soulevai :

— J’aime la baiser à deux ! Elle jouit beaucoup plus !

— La petite coquine ! Elle ne veut pas me branler !

— Laisse-la jouir !

— Tu es dans sa chatte !

— Branle-toi avec sa petite main chaude !

Il grommela :

— Presse-toi !

— C’est plus long maintenant ! J’aime la baiser longtemps !

Je le branlai :

— Je peux te sucer ?

Il s’agenouilla :

— D’accord !

Il aimait se faire sucer, j’aimais le sucer, il me caressait la tête pendant que je pompais à fond dans la jolie petite chatte de Laurence, il inonda de foutre ma gorge pendant que j’éjaculais dans la jolie petite chatte épilée :

— On a joui ensemble !

— Tu fais ça trop bien ! Je n’en pouvais plus !

— Tu regrettes ?

— Sa chatte était prise !

— Tu as aimé ça ?

On la caressait, je l’embrassais :

— Tu peux l’embrasser !

— Elle a goût de foutre !

— C’est le tien !

— Les gars, vous m’avez fait jouir !

On était fatigués :

— Vous pouvez encore ? Je vais vous sucer !

Nous bandions de nouveau, elle était satisfaite de son travail :

— À qui le tour ?

— C’est mon tour !

— D’accord !

Japy la monta rapidement :

— J’aime mieux sa chatte que ta bouche !

— C’est sympa !

Il la baisait brutalement, il voulait qu’elle criât, mais, elle avait trop joui et elle jouissait encore en silence, il ahanait, il la secouait violemment, il la recouvrait égoïstement en me laissant ses lèvres et sa petite main chaude, c’était une bête furieuse, elle aimait la bête furieuse, elle râlait silencieusement pendant que je me branlais avec sa petite main chaude, la bête furieuse finit par jouir, complètement essoufflé, c’était mon tour, je la baisais calmement :

— C’était bon ? Ma petite chérie ?

— Elle a joui ? Je ne l’ai pas entendu crier !

— Tu as joui ?

Elle sourit :

— Il est complètement fou ! C’était trop bon ! Il m’a défoncée la chatte !

— Tu as aimé ça ?

Elle aimait se faire baiser très virilement, j’allais et venais plus vite, plus profondément, elle ne répondit pas, elle jouissait en silence, elle aimait nos bites actives, elle pleurait de plaisir, elle aimait se faire secouer, elle faisait de nous des bêtes, je ne pensais plus, mes reins allaient et venaient mécaniquement, j’étais une machine, enfin, mes couilles se vidèrent, je l’inséminai, nous étions fatigués, nous nous endormîmes, je fus réveillé au milieu de la nuit, elle gémissait, Japy la baisait sur le côté par-derrière, en douce, j’attendis qu’ils finissent pour me rendormir.

Le lendemain matin, nous la baisions sur la table de la cuisine :

— Vous m’avez réveillé, cette nuit ! Tu la baisais !

— Je bandais, je voulais sa chatte ! C’était trop bon !

— Elle dormait ?

— Je pense !

Il allait et venait dans sa chatte, je me faisais sucer :

— Tu l’as forcée !

— Elle mouillait ! Elle aimait ça !

— Tu aimais ça !

— C’était trop bon !

— Tu préfères quand elle dort ?

— Tu le fais aussi ?

— J’aime bien, elle se réveille en jouissant !

— Comme dans un rêve !

— J’aime savoir que sa chatte soit disponible quand j’en ai besoin ! Jour et nuit !

— Tu as de la chance ! Je vais jouir !

— Attends-moi !

— Tu me dis !

Nous jouîmes ensemble.