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Double pénétration pour Laurence

Laurence prenait une douche, nous buvions du vin dans la cuisine :

— J’aimerais la baiser tout de suite !

— À l’apéro ?

— Je ne peux pas attendre ! Mes couilles débordent !

— On va lui demander !

— Elle voudra ? Elle met beaucoup de temps !

— Elle se lave !

— Son petit anus ? J’aime bien l’enculer !

— Bien sûr !

— Je commencerai par la chatte !

— Comme tu veux !

Il se tripotait la bite :

— J’aime sa chatte !

— Tu veux te vider les couilles ?

— J’attends ça depuis une semaine !

— Tu pourrais te branler ?

— Je me suis branlé ! Maintenant, je veux sa chatte ! Qu’est-ce qu’elle fout ?

— Elle se lave !

— Je vais aller dans la salle de bain !

Laurence, complètement nue, s’essuyait :

— Il veut ta chatte !

Elle sourit :

— Il veut me baiser ?

— Il ne peut pas attendre !

— Soulève-moi !

Jambes grandes ouvertes, je la tenais :

— Tu mouilles ?

— Je suis prête !

— Tu peux la baiser !

— Merci !

Il baissa son pantalon, pendant qu’il la baisait, je l’embrassais, il jouit vite :

— Ça va mieux ? On peut manger ?

— Je n’en pouvais plus !

Laurence voulait mettre un t-shirt :

— Je te préfère complètement nue, ma petite chérie !

Elle me sourit amoureusement.

On mangeait, je la caressais :

— Tu souilles mon pantalon !

— Enlève-le ! J’aime sentir ta grosse bite !

— Plus tard, on finit de manger !

— Je suis toute nue, vous êtes habillés ! Ce n’est pas juste !

Je titillais son clitoris :

— Tu nous fais bander !

— Je l’aime bien toute nue !

— Tu viens de la baiser !

— C’était rapide !

— Tu vas me faire jouir, idiot !

Elle écartait les jambes et s’arc-boutait :

— Tu me fais jouir !

— Elle est chaude ! La petite !

— On mange le dessert ?

— Je peux l’avoir ?

— Tu veux jouer avec elle ?

— Je la ferai manger !

— Va-z-y, ma petite chérie !

Il jouait avec ses gros seins, puis, il baissa son pantalon :

— Tu sens ma grosse bite ?

Elle se tortillait :

— Allez baiser au lit ! Je vais faire la vaisselle !

Je les entendais, ils ne finissaient pas :

— Tu as joui combien de fois ?

— Laisse-moi finir ! Tu la baises tous les jours !

Je me déshabillai, elle jouissait :

— Tu vois ?

— Tu l’as baisée trois fois !

— Elle me fait bander !

Il la pinait rapidement, elle criait :

— Je la fais jouir !

— Je vois ! Je peux me branler !

— Je sens que ça vient !

Il grogna et il s’arc-bouta :

— Oh, c’est bon !

Il donnait de furieux coups de reins :

— Putain ! Putain ! Putain !

C’était enfin mon tour :

— Il t’a fait jouir ?

— Oh oui !

Je la pinais lentement :

— Ta chatte est pleine de son foutre !

— Tu aimes ça, les chattes foutreuses et juteuses !

Elle me souriait, contente :

— Il a abusé de toi ! Tu l’as fait jouir trois fois !

— Tu l’as baisée ce matin ?

— Bien sûr !

— Tu vois !

— C’est ma copine, je la baise quand j’en ai envie !

— Ce matin, je me suis branlé ! Elle va jouir, accélère !

— Je fais ce que je veux ! Occupe-toi de tes couilles ! Je prends mon plaisir ! Je t’ai laissé la baiser tranquillement !

— Je l’ai fait jouir !

— Tu as aimé ça, ma petite chérie ?

— Oh oui !

— Tu aimes sa bite ?

— Oh oui !

— Tu vois ! Elle veut se faire baiser !

J’allais et venais plus vite :

— Tu aimes te faire baiser ?

— Je vais jouir !

— J’aime la baiser !

— On aime la baiser !

— Elle jouit encore !

— J’aime la faire jouir !

— Elle est chaude aujourd’hui !

— Elle nous vide les couilles !

— Tu jouis ?

— C’est trop bon ! Je t’aime, ma petite chérie !

J’éjaculais dans sa petite chatte juteuse.

Japy roula un joint, on la caressait, elle était satisfaite :

— Vous m’avez fait jouir !

Elle suça Japy pendant que je la léchais en faisant aller un doigt dans son anus, son petit anus était juteux, puis, elle le chevaucha :

— Je te viole !

Elle faisait aller et venir ses hanches, il jouait avec ses gros seins pendants :

— Tu as une bonne vue ?

Je savais ce qu’elle voulait, elle voulait se faire enculer, je me plaçai derrière, je faisais aller et venir mon doigt dans l’anus, elle gémit d’impatience :

— Tu veux que je t’encule ? Ma beauté ?

Elle ne répondit pas, je l’enculais doucement, elle gémissait de plaisir, je sentais la bite tendue de Japy, il s’étonna :

— Elle aime ça !

— On se synchronise ? Tu rentres, je sors !

— D’accord !

Elle suffoquait, on la pinait à fond, elle criait de plaisir, je le sentis jouir :

— Putain !

— C’est bon, hein ?

— C’est super !

Je tenais ses hanches solidement et m’enfonçais dans son délicieux petit anus, elle s’était avachie sur Japy, je les secouais tous les deux, enfin, je jouis.

Nous la fîmes allonger sur le dos, elle était à moitié évanouie, nous jouions avec ses gros seins souples et sa petite chatte juteuse :

— C’était trop bon !

Elle gémissait encore :

— Je sentais ta queue tendue quand tu as joui !

— Tu m’as fait jouir ! Mon salaud !

— Tu es pédé ? Tu aimes ma bite ?

Il sourit :

— Dans une petite chatte juteuse ! Imbécile heureux ! Elle est dans les vapes ?

— Elle a trop joui !

— J’aimerais inverser !

— Tu veux le gouvernail ?

— Je veux l’enculer !

On la caressait, elle ne réagissait pas :

— Elle ne se réveille pas !

— Je vais lui titiller le clitoris !

On lui écarta les jambes :

— Elle aime ça, mais, elle ne nous sucera pas !

— On va se branler !

— Tu branles bien !

— Tu me diras ?

— Continue, c’est bon !

— Tu m’aideras à la grimper sur moi ?

— Elle n’est pas réveillée !

— Ce n’est pas grave ! Elle nous fait envie !

— Elle nous excite !

On la bascula :

— Tu es dans sa chatte ?

— C’est bon !

Il s’agenouilla derrière :

— Elle se laisse faire !

— Va-z-y doucement !

Il lui mit un doigt dans l’anus :

— Son petit anus est juteux !

— J’ai joui dedans, elle est bien prête !

Il l’encula lentement :

— Je te sens !

— J’aime ta bite !

— Tu es un gros pédé !

— Je ne peux pas bouger, va-z-y !

Il la pinait lentement :

— Elle ne se réveille pas !

— Elle gémit faiblement !

— Je vais la réveiller !

Il l’enculait à fond :

— Tu sens ma bite ?

— J’aime ça !

— Gros pédé !

— Tu vas me faire jouir !

Je bougeais les hanches par-dessous :

— C’est trop bon !

— Tu as joui ?

— Va-z-y plus vite !

Il allait et venait plus vite :

— Tu gicles, mon salaud !

Il la défonçait :

— Putain ! Je jouis !

Il reprenait son souffle :

— Elle a joui ?

— Je ne sais pas, mais, nous, on a joui !

— C’était super !

On l’allongea sur le dos :

— Elle m’a vidé les couilles !

— Tu aimes la double pénétration ?

— On recommencera !

— Pas ce soir ! Je la baise encore, puis, dodo !

— Tu as raison, mais, elle dort toujours !

— On peut la baiser ! Elle ne dira rien !

On la caressait :

— Je recharge mes batteries !

— Elle te fait bander ?

Il jouait avec ses gros seins souples :

— Touche ma bite, tu verras !

Je le branlais :

— C’est ça que tu veux ? Je peux te sucer ?

Il ne répondit pas, il durcissait dans ma bouche, il aimait se faire sucer, même par un homme, il me caressait les cheveux :

— C’est trop bon !

— Tu veux jouir dans ma bouche ?

Il hésita :

— Dans la chatte de Laurence ! Mais elle dort !

— Elle est à notre disposition ! Elle a disjoncté !

Il écarta ses jambes et il la grimpa :

— Elle simule ?

— Je ne sais pas, tu t’en fous ! Baise-la !

— J’aime sa chatte !

Il allait et venait dans sa chatte :

— J’aime la faire crier !

— Elle ne criera pas ! Prends ton plaisir ! Pense à toi !

— Tu as raison ! Je la baise différemment !

— Tu es plus calme !

— Je savoure sa chatte ! Elle est en train de rêver ?

— Elle rêve qu’on la baise ! Tu prends ton temps !

— Je me fais plaisir !

— J’aimerais la place !

— Tu l’auras ! Ne pleure pas ! Elle a souri ?

— Pompe plus vite ! Tu as rêvé !

— Je sens que ça vient !

Je lui caressais les couilles :

— C’est bon ! Continue ! Putain ! Je jouis ! Je jouis ! Je jouis !

Je la baisais enfin :

— On devrait appeler un médecin ! Elle dort toujours !

— C’est pas grave ! On peut la baiser ! Toute la nuit si tu veux !

— D’accord !

— Moi, je vais dormir après ! Tu fais ce que tu veux !

Il se branlait :

— J’aime la baiser quand elle dort !

— Tu vois !

— La belle au bois dormant !

— Tu es le prince charmant ?

— Je suis le prince baiseur !

Je ramonais fortement sa petite chatte juteuse, je la secouais violemment :

— Tu vas la réveiller !

— Un baiser ne suffit pas !

Je jouis sans qu’elle se réveillât, je pouvais dormir :

— Elle est à toi ! Je te la laisse ! Elle dort toujours !

— Merci ! Je vais la sodomiser !

— Tu fais ce que tu veux ! Éteins la lumière ! Je veux dormir !

— D’accord ! Je voudrais la retourner ! Tu peux m’aider ?

On la retourna sur le ventre :

— J’aime son cul !

La lumière s’éteignit, j’entendis le tchac-tchac régulier avant de m’endormir, Laurence se faisait enculer.

Nous buvions le café :

— Tu t’es évanouie, ma petite chérie ?

— J’ai tellement joui !

— Tu aimes la double pénétration ?

— C’était trop bon ! On recommencera ?

— Bien sûr !

— Japy dort toujours ?

— Il a joué avec toi toute la nuit !

— Ah !

— Il t’a enculée, tu n’as rien senti ?

Elle sourit :

— Tu me mets de la pommade magique !

— Tu as mal à ton petit anus ?

— C’est très sensible !

Mon doigt allait et venait dans son anus :

— Tu vas me faire jouir, mon chéri !

Je l’embrassai, elle fondait :

— Je t’aime !

Je l’avais fait jouir avec mon seul doigt :

— Tu veux une tartine ?

— Avec de la confiture d’abricot !

Je jouais avec ses seins :

— Je veux encore !

— Une tartine ?

— Je veux vos deux bites !

— Tu es insatiable ! Tu vas devoir attendre !

Elle cria :

— Japy ! Japy ! Japy !

Il se réveilla et alla à la salle de bain, je lui servis un café :

— Tu es en forme ?

Il grogna :

— Tu as baisé Laurence combien de fois cette nuit ?

Il sourit :

— Je l’ai enculée trois fois !

— Elle n’a rien senti !

— Elle dormait ! Je l’avais toute à moi ! C’était trop bon !

— Mais elle n’a rien senti !

— C’est pas grave ! Elle m’a fait jouir !

— Tu es égoïste ! Elle veut nos deux bites !

— Maintenant ?

— Oui, maintenant ! Sur la table de la cuisine !

— Comment !

— Tu verras ! Je prends son anus !

On la mit sur le côté droit :

— Soulève sa jambe ! Tu vois sa chatte ? Alors va-z-y !

Il la pénétra, je la sodomisai :

— C’est bon !

— Elle aime ça !

— Elle pourrait sucer un troisième garçon !

— Si le facteur arrive !

— C’est dimanche ! On se synchronise ? Je rentre, tu sors !

— D’accord !

— Je te sens mieux !

— C’est trop bon ! Elle jouit, la petite !

— Elle aime trop ça !

On la pinait lentement, avec gourmandise, en jouant avec ses gros seins :

— Elle s’est évanouie ?

— Non ! Elle jouit en silence !

— Heureuse fille !

— Sa chatte est propre !

— Elle s’est lavée ?

— Bien sûr !

— Je vais la souiller !

— Tu vas jouir ?

— Je sens que ça vient !

— Va-z-y !

Il la défonçait :

— Putain ! C’est trop bon !

— J’aime quand tu jouis !

— La petite salope !

— Te retire pas ! C’est mon tour !

— Je bande toujours !

J’allais et venais plus vite :

— Tu la fais jouir !

— Elle aime nos bites ! Ha !

— Tu jouis ?

J’inondais son intestin :

— Je te sens bien !

— Tu as encore giclé ?

— C’est trop bon ! C’est de ta faute !

— Tu veux un café ?

— Oui ! Je prends Laurence !

— D’accord ! Tu veux jouer avec ?

— Elle est toute molle !

— Elle a trop joui !

Il enleva son t-shirt :

— Je la veux toute nue !

— Tu as raison ! Tu peux l’embrasser !

— Merci !

Il lui pelotait les seins en l’embrassant :

— Tu aimes ses gros seins ?

— Oui, sa chatte aussi !

— On la rend heureuse, on la baise, on la sodomise, on la caresse ! On joue avec elle ! On la fait jouir ! Titille-lui le clitoris !

— Elle revient à elle !

— Tu as bien joui, ma petite chérie ?

Elle s’étira et sourit :

— Tu veux recommencer ?

Elle hocha la tête :

— Je veux une tartine grillée !

— Après, on te baise ?

Elle hocha de nouveau la tête :

— Je prends sa rondelle !

— C’est juste ! Je l’ai déjà eu ! Mais tu l’as enculé trois fois pendant cette nuit !

— Tu dormais ! Elle n’était pas utilisée ! Je vais lui demander ! Tu préfères que je t’encule ?

— Je m’en fous ! Je veux vos deux bites !

— Tu vois ?

— Je ne vois rien !

— On la baise ? Tu prends la chatte ?

— Je n’ai pas le choix !

On l’allongea sur le côté, Japy caressait ses fesses :

— J’aime son petit anus !

Il faisait aller et venir son doigt :

— Elle est prête !

— Je viens de jouir dedans !

— J’aime mieux ça !

Il l’encula, je soulevai sa jambe et je la pénétrai, elle gémissait de plaisir, je mis son pied sur mon épaule, mes mains étaient libres, je lui fis sucer mon doigt en jouant avec ses gros seins :

— Elle aimerait sucer une bite !

— Elle est gourmande !

— Je vais jouir dans sa bouche !

— Tu fais comme tu veux !

— C’est le petit déjeuner !

— Moi, je vais jouir dans son intestin !

— Tu fais comme tu veux ! On se synchronise ?

— C’est beaucoup mieux ! Regarde-la, comment elle aime ça ! Mais, elle ne crie pas !

— C’est trop pour elle ! Va moins vite, on a tout notre temps !

— Tu as raison, nous sommes une équipe !

— Tu sens son petit anus ?

— Je sens bien ta bite !

— Je te sens aussi !

— C’est jouissif !

— Tu aimes ça ?

— C’est super !

— On peut changer, on entre ensemble, on sort ensemble !

— D’accord !

— C’est bon !

— Elle jouit ?

— Regarde-la !

— Elle aime la double pénétration !

— On la possède totalement ! Elle pourrait sucer et branler trois autres gars !

— Elle peut satisfaire cinq gars simultanément !

— Elle en rêve !

— Elle a seulement trois orifices !

— Elle a deux mains ! Elle peut les faire jouir ! Elle aime bien branler !

— Ça occupe ses mains ! On est désynchronisés !

— C’est trop compliqué ! J’ai mon propre rythme !

— Ce n’est pas grave, elle aime ça pareil !

— Elle jouit ?

— Regarde-la !

— Elle s’est évanouie ?

— Mais non ! Je vais jouir dans sa bouche !

Je me retirai :

— Elle me suce mal !

— Je vois ça !

— Tu la distrais !

— Reprends la chatte !

— Elle ferme la bouche ! Tant pis !

Je me branlais :

— Ça fait rien !

J’éjaculai sur son visage :

— Tu es dégueulasse !

— C’est sa faute ! Elle ferme la bouche !

— Elle est belle comme ça !

Ça l’excitait, il éjacula dans son petit anus :

— Putain ! C’est bon !

Il la secouait, elle ouvrit la bouche trop tardivement.

On prit de nouveau le petit déjeuner, j’avais Laurence, je nettoyai son visage :

— Tu fermais la bouche ! Ma petite chérie !

— J’ai fait exprès ! Je sais que tu aimes ça !

— Tu vois ! Elle le voulait !

— Ça m’excite !

— Tu voudrais essayer ? Viens te faire sucer !

Il soupirait d’aise, je lui caressais les couilles, Laurence le suçait avec gourmandise, je lui titillais le clitoris :

— Tu vas gicler ?

— Attends un peu !

— Elle va jouir avant !

Elle jouit pendant qu’il arrosait son visage de foutre :

— Elle ferme les yeux, mais elle ouvre la bouche !

— Elle veut ton gland !

— Putain ! Elle pompe !

— Tu gicles encore ?

— Ce sont les dernières gouttes !

— Elle aime notre foutre !

Je lui léchai les yeux :

— Tu aimes mon foutre !

Je l’embrassai longuement :

— Tu aimes l’éjaculation faciale ?

— Ça l’humilie !

— C’est un jeu ! Demande-lui !

— Tu aimes vraiment ça ?

— Vous me faites jouir, mes chéris, c’est votre récompense !