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À deux dans la petite chatte juteuse
de Laurence
Japy était excité, on buvait du vin magique dans la cuisine en attendant Laurence :
— Putain ! Je bande ! Je veux la baiser dès qu’elle arrive !
— Tu attendras ! Tu viens ici seulement pour la baiser !
— C’est pas vrai ! Je viens te voir !
— Tu connais notre petit voisin ? Il m’aide à nettoyer la grange.
— Non !
— Il a quinze ans, Laurence le voulait dans son lit ! Hier soir, il l’a baisé cinq fois ! Il entrait dans sa chatte, il jouissait !
— Ah !
— Tu es jaloux ?
Il grimaçait :
— C’est une vraie petite pute !
— Tu en profites ! Je lui dirai !
— Non ! Il ne la fait pas jouir ?
— Elle aime le sentir éjaculer dans sa chatte !
Je ne lui dis pas que je l’avais enculé, je l’avais d’abord sucé dans la grange, je l’avais surpris en train de se masturber en regardant mes dessins de Laurence nue, nous avions pris une douche, je l’avais baisé dans la chambre, il était tendre, je lui avais demandé s’il voulait baiser Laurence, il en rêvait, il se masturbait tous les jours en pensant à elle, il aimait ses gros seins, il n’avait jamais baisé une fille, il voulait essayer ça.
Il se faisait sodomiser par son professeur d’éducation physique, il faisait ça brutalement, Thomas avait voulu que je l’encule, il s’était retourné sur le ventre après m’avoir sucé, me présentant son délicieux petit cul, je fis aller un doigt dans son petit anus, il mouillait comme une fille, je lui demandai :
— Tu veux vraiment ?
Il gémit :
— Oui ! Fais-le !
— Je serai très gentil ! Mon chaton !
Il avait joui plusieurs fois, sous son ventre, il y avait une flaque de sperme :
— Tu m’as fait jouir, c’était trop bon !
Le soir même, il baisait cinq fois la petite Laurence :
— Il jouit trop vite, mais, il est courageux ! Elle l’aime beaucoup !
— Elle joue avec lui !
— Le sexe est un jeu !
— C’est un gamin !
— Elle aime les gamins !
— D’accord ! Elle fait ce qu’elle veut !
— Heureusement !
— On va la baiser à deux ?
— Tu as aimé ça ?
— C’était super ! On l’a fait jouir !
— Si elle veut ça, elle nous chevauchera, laissant son cul à notre disposition !
— J’en bave ! Le gamin l’a sodomisée ?
— Il aimerait !
— Elle va continuer à se faire baiser par lui ?
— Bien sûr ! Aussi longtemps qu’elle en a envie !
— Ça te gêne ?
— J’aime le voir la baiser !
— Pervers !
— J’aime te voir aussi ! Tu aimes aussi me mater, ça t’excite !
Il sourit :
— Je la fais jouir !
— Le gamin apprend !
— Il a beaucoup de chance ! J’aimerais le voir !
— La semaine prochaine ?
— D’accord !
— Elle sera contente ! Elle aura trois hommes !
— Elle est gourmande !
— Elle aime nos bites !
— J’aime sa chatte !
— On pourrait aller à deux dans sa chatte ?
— Tu es fou !
— C’est son idée !
Je lui avais soufflé.
— Elle est complètement folle !
— La chatte est élastique !
— Elle va être élargie ! Ça ne sera pas pareil ! J’aime les chattes resserrées !
— Sa chatte est musclée, ne crains rien !
— D’accord ! On peut essayer !
— Mets la table ! Elle ne va pas tarder !
— Putain ! je bande !
— Branle-toi ! Elle arrive !
Elle nous embrassa, elle avait une veste bleu marine et une petite jupe assortie, un corsage blanc décolleté, elle était très sexy, je glissai une main sous sa petite jupe bleu marine :
— Tu mouilles ? Ma chérie !
Elle sourit malicieusement :
— Je vais prendre une douche !
— Elle est chic !
— Je choisis ses vêtements !
— Tu joues à la poupée !
— j’ai raccourci sa jupe !
— Je vois ça ! Elle me fait bander ! La petite allumeuse !
— Tu vas la baiser !
On mangea, Laurence sur mes genoux, habillée seulement d’un corsage blanc, je la caressais, je déboutonnai son corsage blanc :
— Tu voulais voir ses seins ?
— Je la voudrais un peu, tu l’as toujours !
— Tu es d’accord, ma petite chérie ! Tu la fais manger !
Je servis le dessert :
— Il t’embête, ma chérie ?
Elle soupira :
— Je vais faire la vaisselle ! Allez dans la chambre ! Je vous rejoins !
Je les entendis rire, puis, baiser, Laurence gémissait, puis, le calme, ils murmuraient, puis ils baisèrent de nouveau, des gémissements, des halètements, ça se prolongeait, il la fit jouir, quand je rentrai dans la chambre, il la pinait toujours, je me déshabillai et j’attendis qu’il finisse :
— Tu l’as baisée deux fois ?
— Tu ne venais pas ! Puis, j’avais joui vite !
— Je la préfère toute nue !
J’enlevai sa chemise :
— J’étais pressé !
Je la léchai en faisant aller mon doigt dans son anus pendant qu’il lui pelotait les seins :
— C’est bon ?
— Délicieux !
Elle gémissait de plaisir, je titillais son clitoris, elle jouit en agitant les fesses, je pouvais la baiser, sa chatte était juteuse et délicieuse :
— Il t’a fait jouir, ma petite chérie ?
— Oh oui !
Je la pinais doucement :
— J’aime ta chatte juteuse !
— J’aime ta bite !
Je l’embrassai tendrement :
— Je t’aime ! je t’aime ! je t’aime ! je vais jouir !
J’accélérais, elle cria :
— Tu me fais jouir, mon amour !
J’étais très excité, je jouis à mon tour.
On la caressait :
— Tu as joui trois fois ! Tu veux encore ?
— Oh oui !
Elle nous suça, nous bandions vigoureusement, puis, elle chevaucha Japy, je sus ce qu’elle voulait, je m’agenouillai entre ses jambes, je mis un doigt dans son anus, elle bougeait les hanches rapidement, elle voulait se faire enculer, j’avais une autre idée, je guidai mon gland jusqu’à la petite chatte juteuse, la bite de Japy allait et venait lentement, je poussais mon gland gonflé dans son vagin juteux et encombré, il entra peu à peu, nos deux queues excitées allaient et venaient très doucement, c’était trop bon, elle était surprise, mais elle jouit immédiatement, nous nous synchronisâmes, nous grognions, elle ne bougeait plus, elle était toute molle, je tenais ses hanches, nous allions jouir, nous accélérâmes le va-et-vient, nous éjaculâmes ensemble, c’était délicieux, nous reprenions notre souffle, nos trois corps emmêlés :
— Elle s’est évanouie !
— Elle a trop joui ! La petite !
Nous l’allongeâmes sur le dos, nous la caressâmes, nous ouvrîmes ses jambes :
— Sa chatte est toute chaude !
— Elle dort toujours !
— Caresse-la, elle va se réveiller !
— C’était vraiment bien, à deux dans sa chatte ! On a joui pile-poil ensemble !
— On se frottait nos deux bites comme deux pédés !
— Mais dans une chatte ! Elle a aimé ça ?
— Regarde-la !
— Je bande ! Sa chatte est distendue ?
— Essaye-la !
— Mais, elle dort ! Tu penses que je peux ?
— Bien sûr ! Elle ne dira rien !
— Mais elle dort !
— Elle est à notre disposition ! Pour notre plaisir ! Elle te fait bander, baise-la ! C’est ma copine, je te l’offre !
— Merci !
Il la grimpa, il la pinait lentement :
— Alors ?
— C’est encore meilleur !
— Je te l’avais dit !
— Je savoure ! J’aime sa chatte !
— Elle ne bouge pas !
— Elle va jouir ?
— Je ne sais pas !
— Je peux la baiser comme je veux !
— Tu te fais plaisir !
— Je peux arrêter, recommencer doucement ! C’est trop bon ! Sa chatte est bien juteuse !
— On a joui quatre fois !
— Cinq fois dedans !
— Tu fais durer !
— Je peux encore tenir ! Quand elle jouit, je vais et viens plus vite ! Je jouis vite !
Il s’arrêta, puis, il galopa :
— Putain ! Ça a giclé ! Tu m’as déconcentré !
— Je vais pouvoir la baiser !
— Je gicle encore !
— Tu inondes complètement sa petite chatte !
Il donnait de furieux coups de reins :
— Une dernière goutte ! Je te laisse la place !
Je pouvais la pénétrer, je nageais dans le foutre, je la sodomisai, elle était plus que prête, je l’embrassai, elle eut un petit sourire :
— Coquine ! Tu es réveillée !
J’allais et venais à fond, elle me souriait amoureusement, puis, elle grimaça, elle jouit silencieusement en fermant les yeux, elle était totalement inerte :
— Tu as bien joui, ma chérie ?
Elle ne répondait pas :
— Quand tu auras fini, je la sodomiserai !
— Si elle veut bien !
— Qui ne dit rien consent !
Je continuais à piner calmement son petit anus :
— Tu es pressé ?
Il se branlait :
— Prends ton temps !
— Merci !
— Je la retournerai, tu m’aideras ?
— Tu veux la prendre par-derrière ?
— Je préfère l’enculer par-derrière !
— Moi, j’aime la voir jouir !
— Tu la fais jouir ?
— Regarde-la !
— Ah ?
— Elle grimace !
J’allais et venais plus vite :
— C’est bon, ma chérie ?
— Elle ne dit rien ! Elle est toute molle !
— Écoute ! Elle gémit tout bas !
— C’est comme de la masturbation !
— Tu préfères te masturber ?
— J’ai pas dit ça ! j’aime la faire crier !
— Elle n’a pas envie !
— Elle ne participe pas !
— Elle fait l’étoile de mer !
— ???…
— Elle est passive ! Mais elle aime ça ! Elle nous donne son corps ! On fait ce qu’on veut !
— D’accord ! C’est mon tour maintenant ! Ça fait longtemps que tu es sur la bête !
— La sodomie, c’est plus long ! Le frottement dans le vagin est différent !
— Tu peux aller et venir plus vite !
— Je sens que ça vient ! Je suis tout proche ! C’est bon ! Ah !
On la retourna sur le ventre en étoile de mer :
— J’aime son cul !
— Il est tout à toi !
Il le caressait, il lui mit un doigt :
— C’est bien juteux !
— C’est mon sperme !
Il l’encula :
— Je le préfère juteux, ça glisse mieux ! J’adore l’enculer par-derrière, c’est plus confortable ! J’aime bavarder pendant qu’on la baise !
— Elle n’est pas bavarde ! Tu préfères l’enculer ?
— Ça change !
— Tu enculerais un garçon ?
— Jamais ! Tu rigoles ! Tu l’as fait ?
— Bien sûr !
— Ça ne m’étonne pas !
Son rythme était régulier, il ne se pressait pas :
— Tu as aimé ça ?
— Un anus de garçon vaut celui de la fille !
— C’est très possible !
— La rondelle de Laurence te plaît ?
— Elle se contracte !
— Parce qu’elle jouit !
— Tu crois ?
— Je la connais bien !
— Tu vas la baiser après ?
— Je vais dormir, j’ai assez baisé aujourd’hui !
Il caressa ma bite :
— Tu bandes encore !
— Tu peux me branler !
— Tu le voudrais ?
— J’aime me faire branler par un garçon !
— Tu es un vrai pédé !
— Tu baises ma copine !
Il continuait à me branler :
— Tu fais ça très bien !
Il allait et venait plus vite :
— Ça t’excite de me branler !
— C’est le cul délicieux de ta petite copine !
Il ralentit son va-et-vient :
— J’ai tout mon temps ! Je vais à fond !
— J’aime me faire branler !
— Tu es paresseux !
J’aurais eu envie de me faire enculer, mais, il préférait les filles, au moins, il me branlait, il se taisait, il haletait, il arrêta de me branler, je pris le relai, nous jouîmes ensemble, je m’endormis. Je ne sus pas combien de fois il la baisa pendant la nuit. Il se leva tard.