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Trois gars pour Laurence

J’avais le jeune voisin sur mes genoux et Laurence, à moitié nue, se tortillait lascivement sur les genoux de Japy, on finissait de manger, j’enlevai le short de notre jeune voisin :

— Tu bandes, petit coquin !

Je le branlais :

— On veut voir ses gros seins !

Japy souleva son t-shirt, il la caressait, je me penchai pour le sucer, il jouit dans ma bouche :

— Il est mignon ?

— On baise ? J’ai les couilles pleines !

— Thomas commencera !

— Pourquoi ?

— C’est le plus jeune !

— C’est pas du jeu !

— Il est rapide !

— Il vient de jouir !

— Ne t’inquiète pas !

On rangea, puis, on se coucha, notre jeune voisin grimpa sur Laurence, elle soupira bruyamment, je lui ôtai sa chemise :

— Ils sont bien pressés !

Nous nous déshabillâmes :

— Doucement ! Mon chaton !

— Il est en train de jouir !

— Tu n’auras pas attendu !

Il prit la place libérée :

— Oh ! C’est bon !

Elle gémissait :

— Je vais l’inséminer !

— Tu es rapide !

— J’avais les couilles pleines ! Je te laisse la place !

Je la baisais :

— Tu nous fais jouir, ma chérie !

— Vous ne pouvez pas me résister !

Elle souriait :

— Tu as une petite chatte magique !

Elle grimaçait :

— Tu vas jouir ?

— Oh oui !

Elle cria de plaisir pendant que j’éjaculais :

— C’est ton tour, mon chaton !

— Il va trop vite !

— Laisse-le !

— Regarde ! Il gicle sur son ventre !

— Il ne fait pas exprès, il s’est retiré ! C’est trop mignon !

— Elle ne jouit pas !

— C’est pas grave ! Va-z-y ! Fais-la jouir !

— C’est dégueulasse ! C’est tout gluant !

— Chochotte ! Si tu ne veux pas ?

— Ha ha ha ! Très très drôle ! Je nage dans le foutre !

Il la baisait énergiquement :

— C’est encore meilleur !

— J’aime l’odeur !

— Le gamin te suce ?

Je lui caressais la tête :

— Il suce bien !

— Tu triches !

— Il te sucera ! Ne t’en fais pas !

— Elle jouit ?

— Écoute-la !

Il la défonçait :

— C’est trop bon ! Je vais jouir !

Il la secouait vigoureusement, elle criait de plaisir :

— Oh oui ! Oh oui ! Oh oui !

— Putain ! Je jouis ! Je jouis ! Je jouis !

Il reprenait haleine :

— Laisse-moi la place !

Je pris le relai :

— Tu es contente, tu as trois hommes ?

— Je vous aime ! Vous me faites jouir !

— Pas le gamin !

— J’aime quand il jouit !

— Suce-le, mon chaton, il est jaloux !

Je la pinais doucement, je coulissais délicieusement dans sa petite chatte trempée :

— Il suce bien ?

— J’adore !

Elle gémissait tout bas :

— Plus vite ! Plus vite ! Plus vite !

— Tu veux jouir, ma puce !

— Ho oui !

— Tu devras attendre !

— Oh non !

— Oh si ! J’aime ta chatte ! J’aime tes gros seins ! J’aime ta bouche !

— Oh ! Va-z-y ! Fais-moi jouir !

Je l’embrassai, elle bougeait les hanches violemment :

— Tu me rends folle !

— Tu vas me faire jouir, coquine !

— Je jouis ! Je jouis ! Je jouis !

— Tu m’as fait jouir, mon amour !

— Je t’aime !

— Tu veux encore ?

— Oh oui !

— Thomas ! C’est ton tour !

— Il baise trop vite !

— Il apprend !

— Il suce bien !

— Tu vois !

Je lui caressais les couilles :

— Plus doucement, mon chaton !

Ses couilles se contractèrent, il giclait, elle l’embrassa :

— C’était très bon, mon petit chéri !

Japy haussa les épaules, il prit le relai :

— Tu aimes la position du missionnaire ? Tu ne veux pas changer ?

— Je fais mon étoile de mer !

— Tu veux te faire sodomiser ?

— Je veux me faire baiser ! Tu n’aimes pas ma chatte ?

Il la ramonait lentement, je me faisais sucer :

— C’est bon, mon chaton !

— Il aime sucer ! Il va encore baiser Laurence ?

— Bien sûr ! Tu fatigues ?

— Tu rigoles ? Regarde !

Il donnait de grands coups de reins, elle se mit de nouveau à gémir :

— Je vais la faire jouir !

Il haletait en la pinant, elle hoquetait de plaisir, elle se faisait secouer vigoureusement :

— Putain !

Il giclait, il se retira :

— Tu vas nager dans le foutre !

— Ça sera encore meilleur !

Elle était toute molle :

— Tu as trop joui, ma puce !

— Oh oui !

— Tu peux encore jouir !

— Oh oui !

— Ta chatte est brûlante !

Je l’embrassais, je la caressais :

— Tu as besoin de beaucoup de tendresse, ma petite chérie !

— Je t’aime !

— Je vais te baiser doucement !

Je faisais durer, Japy se faisait sucer, il était content, elle gémissait encore :

— Tu sens bien ma bite ?

— Ho !

— Elle jouit à répétition !

— Elle s’est mise en marche, la petite !

— Le gamin pourra la faire jouir ?

— Il l’a fait jouir !

Tout en la pinant, je lui chuchotais à l’oreille :

— Quand il te baisera, tu crieras !

Elle me sourit, puis, elle hoqueta :

— Oh oui ! Oh oui ! Oh oui !

— C’est reparti !

— Tu aimes l’entendre !

— J’aime le travail bien fait !

Je la secouais en la faisant chanter :

— C’est beau !

Ça avait assez duré, j’accélérais le va-et-vient :

— Je t’aime ! Je t’aime ! Je t’aime !

Enfin, je jouis :

— Ça déborde ! À toi, Thomas !

Il la baisait lentement :

— Il a appris !

Elle gémissait plus fort, il allait et venait plus vite, elle cria :

— Tu me fais jouir ! Tu me fais jouir ! Tu me fais jouir !

Elle simulait, mais, il était content :

— C’était trop bon, mon chaton !

Japy la baisa, je la baisai, nous la fîmes jouir, il nous suça, puis, il la baisa, elle simula encore, il rentra chez lui :

— Il ne te fait pas jouir !

— J’aime le sentir en moi, j’aime quand il jouit !

À son tour, Japy la monta :

— Sodomise-moi !

Il ne se fit pas prier :

— Ta chatte est pleine de foutre !

— J’aime ça ! Vous m’avez bien inséminée !

— Douze fois ! Votre jeune voisin a joui sur ton ventre !

— Le pauvre chéri !

Elle grimaça :

— C’est trop bon !

Elle se faisait enculer virilement, elle allait jouir :

— Elle aime ça, la petite !

Elle hoquetait de plaisir :

— Tu vas aussi l’enculer ?

— Bien sûr !

— Elle a beaucoup joui !

— Elle nous aime parce qu’on la fait jouir !

— Le gamin pourra la sodomiser ?

— Elle décidera ! Il aime son vagin, il apprend !

— Moi, j’aime la sodomie ! Sa chatte est trop spermeuse !

— C’est de notre faute, nous avons beaucoup joui dedans !

— C’est bien vrai ! Douze fois !

— Tu en as encore pour longtemps ?

— Tu attendras, c’est trop bon !

Je lui caressais les couilles :

— Tu aimes ça ?

— Continue !

Je lui mis un doigt dans le cul :

— Et ça, tu aimes ?

— Ha !

— Tu mouilles de l’anus !

Il allait et venait plus vite, son anus se contracta, il éjacula dans son intestin :

— Putain ! Tu m’as fait jouir !

— Tu aimes te faire enculer !

— Connard !

— Je peux maintenant enculer ma copine ?

— D’accord !

Quand je l’enculai, elle soupira :

— C’est bon ?

— Oh oui, mon amour !

— Tu es bien lubrifiée !

— Il a joui dans mon petit anus !

— Il est sympa ! Ça glisse mieux !

— Tu aimes mon petit anus ?

— Je l’adore !

— J’aime me faire enculer !

— Tu aimerais te faire enculer par notre jeune voisin ?

— Bien sûr !

— Il doit apprendre à te baiser ! Il ne te fait pas jouir ! Tu simulais ! J’ai bien vu !

— Il est adorable, ça lui faisait plaisir !

— Ça ne te regarde pas ! Elle fait ce qu’elle veut ! C’est son corps !

— Je vais jouir !

— Ma petite chérie !

Elle se cabra :

— C’est trop bon !

Je lui défonçais l’anus, elle jouit encore :

— Je t’aime !

On était fatigués, nous nous endormîmes. Le lendemain matin, on la baisa, je jouis dans sa bouche.