Le vendredi après-midi, Japy me téléphona :
— Je viens ce soir ?
— Si tu veux !
— Je vais baiser la petite Laurence ?
— Elle ne sera pas là !
— Ah !
— Elle est partie au mariage de son cousin !
— Putain ! J’ai les couilles pleines !
— On se branlera en regardant un film porno !
— Elle revient quand ?
— Demain matin !
— On la baisera demain matin ?
— Si elle a envie !
— C’est triste !
— Je peux demander à notre jeune voisin !
— Ha ?
— Il peut être notre femme !
— On l’enculerait ? Il voudra bien ?
— Il aime ça !
— Tu es sûr ?
— Je l’ai déjà enculé !
— Je ne suis pas pédé !
— Tu encules bien Laurence !
Il y eut un grand silence :
— D’accord ! Il suce bien !
— Je l’appelle ?
— Oui !
— Tu le sodomiseras ?
— Je ne sais pas !
— Il sera vexé !
— Tu commenceras, je verrai ça !
— À tout à l’heure !
J’appelai notre jeune voisin :
— Laurence n’est pas là ! Tu veux bien être notre femme ?
— Oh oui ! J’aime bien Japy !
— On va s’amuser ! Mon chaton. À tout à l’heure !
Je préparai le repas, le jeune voisin arriva à la maison, on s’embrassa :
— Tu bandes, coquin !
Je m’agenouillai à ses pieds et je baissai son short :
— C’est trop joli !
Je le suçai, il jouit dans ma bouche, je remontai son short :
— On va prendre l’apéro ! Ça fera venir Japy !
On mangea dehors, mon petit voisin sur mes genoux, je le déshabillai :
— Il n’est pas mignon ?
— Je préfère les filles ! J’ai les couilles bien pleines ! Putain ! Je dois les vider !
— Il peut te sucer ?
— Putain oui !
Il baissa son pantalon :
— Va-z-y, mon chaton !
Il s’agenouilla devant, il avala son gland, Japy gémit :
— Putain ! C’est trop bon !
— Ça va mieux ?
— Je bande toujours !
— Heureusement ! On prend le café et on va se coucher ?
Le jeune voisin grimpa de nouveau sur mes genoux, je l’embrassai :
— Tu as goût de sperme !
Je le branlais, il se tortillait :
— Il suce vraiment bien, le gamin !
— Il mouille beaucoup de l’anus !
— Comme une fille ?
— Il veut nos bites !
— On verra ça !
— On va au lit, mon chaton ?
Dans la chambre, on se déshabilla, je fis aller et venir mon doigt dans son anus :
— Tu préférerais ma bite ?
Il voulut se retourner :
— Je vais te prendre par-devant !
Je le montai, je frottais nos bites, puis, je l’enculai doucement jusqu’à la garde :
— Il gémit comme une fille !
— C’est notre petite femme ! Donne-moi un coussin !
Je le mis sous ses fesses pour pouvoir aller à fond :
— C’est trop bon !
Il criait de plaisir en gigotant, Japy, excité, nous regardait, je n’en pouvais plus, je galopais :
— Je vais jouir ! Ah !
J’inondai son intestin :
— C’est à toi !
— Je ne sais pas !
— Fais pas le con !
— Il a joui ! Son ventre est gluant de sperme !
— C’est encore meilleur !
Il hésitait :
— Il ne te fait pas bander ?
— Putain !
Il s’agenouilla entre ses jambes :
— Laurence n’est pas là, je ne suis pas pédé !
— On le sait !
Il l’encula enfin en le faisant gémir :
— Alors ?
Il allait et venait lentement :
— Ça va !
Il prenait du plaisir, il se laissa aller :
— Tu n’aimes pas ça ? Tu peux l’embrasser !
— Il a encore joui !
— C’est trop mignon !
Il accéléra le va-et-vient, il ahanait, il grognait :
— Tu aimes les garçons !
— Bon dieu !
— Tu le fais crier de plaisir ! Il aime ta bite !
— Putain ! Je gicle !
Il se retira, je le débriefai :
— Tu as aimé l’enculer ?
— Putain ! C’était super bon !
— Tu es pédé ?
— Je préfère les filles ! Il n’a pas de seins !
— Tu vas recommencer ?
Il hésita :
— Bien sûr !
— C’est mon tour ! Retourne-toi, mon chaton ! Tu préfères te faire baiser par-derrière ?
— Oh mon amour ! Tu fais comme tu veux !
Son anus était bien spermeux, je le pénétrai :
— Ton petit anus est divin, mon chaton !
Il gémissait, je l’enculais à fond :
— Tu aimes trop ça !
— Il aime mieux se faire enculer que baiser Laurence !
— C’est vrai, mon chaton ?
— Oh oui !
— Il jouit comme une fille !
— C’est notre petite femme ! Elle aime se faire baiser !
— Vous m’excitez !
— Ne t’inquiète pas ! Tu vas la baiser !
— Tu fais durer !
— Tu attendras ! Tu y prends goût ?
— Je veux baiser, c’est pas compliqué !
— Je sens que ça vient !
— Tu es vraiment long !
— Mes couilles bourdonnent !
— Tu pourrais accélérer !
— Elle aime ce rythme ! Elle jouit ! Tu aimes ça, mon chaton ?
— Oh oui ! Je t’aime !
Mon sperme inonda son intestin, je donnai encore le dernier coup de reins :
— C’est bon, mon chaton ! Tu vas pouvoir la baiser !
Il grogna :
— C’est pas trop tôt !
Il la sodomisa :
— Putain ! C’est trop bon !
— Tu aimes son anus ?
Il la pinait lentement :
— Il est bien juteux de foutre ! Il est très différent de celui de Laurence ! J’aime ses contractions !
— Tu aimes son cul ?
— C’est un cul de garçon !
— Tu la fais jouir !
— C’est une vraie gonzesse !
— Caresse-la ! Elle aime les caresses !
— Je suis un peu gêné !
— Elle te donne du plaisir ! Embrasse-la ! Elle a besoin de tendresse !
Il prenait son temps, il se décida enfin, il l’embrassa amoureusement, il la faisait gémir, il l’enculait à fond :
— Il jouit rapidement !
— Ne te presse pas ! Elle aime la lenteur ! Elle veut sentir ta bite !
— Ça me plaît !
C’est moins fatigant ! Tu sens bien ma bite ?
— Oh oui !
— Je sens ton petit anus, ma petite chérie !
Il la pinait en silence, l’air très sérieux, puis, il se cabra :
— Putain !
Il éjaculait en sursautant :
— C’est trop bon !
On se reposait, iel nous suçait :
— On va la prendre en levrette, elle pourra nous sucer !
— Tu préfères l’enculer ou te faire sucer ?
Il réfléchit :
— L’enculer !
— D’accord !
Iel ne discuta pas, iel se mit à quatre pattes, Japy à genoux derrière elle l’encula de nouveau pendant que je me faisais sucer :
— Tu aimes la baiser ?
— Je n’ai pas baisé depuis une semaine ! Je prends ma revanche ! Tu baises Laurence tous les jours !
— Heureusement ! Elle me quitterait !
— Tu vas jouir dans sa bouche ?
— Je pense, regarde-moi, mon chaton !
— Elle aime bien sucer !
— Elle aime bien se faire enculer !
— J’aime bien la levrette, elle peut nous satisfaire en même temps !
— Ne la secoue pas ! Elle est fragile ! Elle veut de la tendresse !
— J’aime bien son cul ! Je vais toujours trop vite ! Les filles aiment ça !
— Tu crois ? Tu veux te vider les couilles ! C’est tout !
— J’y vais tranquillement ! Ça lui va ?
— Tu aimes, mon chaton ?
— J’aime sa bite !
— Il te fait jouir ?
— Oh oui !
— Il peut te secouer ?
— Je ne suis pas fragile !
— Tu vois !
— Tu peux la branler !
— Je la touche, elle gicle !
— C’est rigolo !
— Elle jouit encore ! Elle n’arrête pas !
— Elle a aussi des orgasmes anaux !
— La petite coquine ! C’est plus puissant ?
— C’est dévastateur ! Tu pourrais essayer !
— Je préfère pas ! Je ne suis pas pédé passif !
— Mais un pédé actif !
— Tu peux le dire !
Il lui tenait les hanches :
— Je vais te montrer !
Il lui défonçait l’anus :
— Elle va aimer ça !
Elle criait de plaisir :
— Écoute-la ! Elle aime mieux jouir que faire jouir !
— Tu es idiot !
— Oh putain !
Il se cabra, il éjaculait en grognant :
— Oh putain ! C’est bon !
Il ne se retira pas, il continuait à aller et venir lentement, Thomas recommença à me sucer, elle avait été très perturbée par cette virile enculade, je lui caressais le visage :
— Il t’a fait jouir, mon chaton !
Elle ronronnait en me suçant soigneusement, en me caressant les couilles :
— Tu es heureuse ?
Je la laissais faire :
— Tu vas me faire jouir, ma petite chérie !
Elle me regardait amoureusement, quand je giclai, elle avala gloutonnement, Japy la pinait de nouveau virilement :
— Tu n’arrêtes pas !
— Tant que je bande !
— Elle t’excite ? Notre petite femme !
Il sourit :
— Tu as des bonnes idées !
Le jeune voisin basculait les hanches :
— Elle s’empale sur ma bite ! Regarde !
— Elle est adorable ! Laisse-la faire !
— Tu veux ma place ?
— Elle me suce ! Tu aimes son cul, j’aime sa bouche !
— Je la fais jouir !
— On s’amuse bien entre garçons !
— Pas besoin d’une fille !
— On a notre petite femme !
On la caressait, on la branlait, je l’embrassais, elle ronronnait :
— On peut jouir ensemble ?
— Tu es proche ?
— Attends un peu !
— Tu me diras !
Il ralentit le va-et-vient :
— Je t’attends !
Je m’enfonçai dans la bouche, j’allais et venais profondément :
— Va-z-y !
On la pinait vite jusqu’à la garde, je lui bloquais la tête :
— Ça y est !
On jouissait ensemble :
— Elle avale ton foutre ?
— Elle aime ça !
— On l’a possédée par tous ses orifices !
— C’était bon, mon chaton ?
— J’ai trop joui !
On se reposait, on la caressait, je la suçai, sa chaude semence inonda ma gorge ; me surprenant, Japy, à son tour, la suça, il avala son foutre !
— Tu aimes le sperme maintenant ?
— Je ne veux pas mourir idiot ! Ça n’a pas de goût ! C’est tout gluant !
— J’aime bien le goût, et surtout l’odeur !
— Laurence a un délicieux petit orifice de plus !
— C’est vrai ! On peut la prendre à trois gars !
— Tu bandes encore ? Tu veux te la faire ?
— Je vais la baiser par-devant avant de dormir !
— Elle est d’accord ?
— Elle est toujours d’accord, c’est notre petite femme !
— On s’amuse bien !
— Tu l’as bien inséminée ! Son anus est bien juteux !
— Je me la ferai après toi quand tu auras terminé !
— Par-devant ?
— J’aime quand elle jouit ! J’aime l’embrasser !
— Tu pourras la baiser toute la nuit, elle va dormir avec nous ! Ses parents sont partis pour le week-end !
— C’est génial ! Je la prendrai par-derrière pour ne pas la réveiller !
— Tu es d’accord, mon chaton ?
— Il pourra utiliser mon cul quand il voudra !
— C’est super sympa !
Je la pinais plus vite en l’embrassant :
— Tu es un petit trésor !
— Tu me fais jouir !
— Je le sens, mon chaton !
— Je t’aime !
Je me tendis, j’allais éjaculer, elle m’embrassa amoureusement pendant que je jouissais :
— Je t’aime !
Japy prit le relai :
— J’aime te baiser !
— J’aime me faire baiser !
Je m’endormais, j’écoutais leurs mots d’amour :
— J’aime ta bite !
— J’aime te faire jouir !
— Embrasse-moi !
— Mon petit lapin !
— Oh mon amour ! C’est trop bon !
— Ma petite poulette !
— Mets-la-moi profond !
Je finis par dormir.
Au petit déjeuner, je caressais Thomas, elle voulait rester nue dans mes bras :
— Tu as aimé être notre femme ?
— J’ai adoré !
— Pendant la nuit, il t’a baisée plusieurs fois ?
— Je crois trois fois !
— Il est fatigué, il dort encore ! C’est un gros pédé maintenant !
— J’aime les gros pédés !
— Tu bandes encore, mon chaton !
— Tu bandes aussi !
J’entendis le moteur d’une voiture :
— C’est Laurence !
Elle entra dans la cuisine :
— Notre jeune voisin ! Complètement nu !
— C’est notre petite femme ! Tu n’étais pas là !
— Vous me faites un café, les gars !
— C’était bien, ton mariage ?
— C’était nul ! J’aime bien le voir faire le café tout nu ! En plus, il bande ! C’est rigolo !
Il apporta le café :
— Viens sur mes genoux !
Elle le branlait :
— Petit coquin ! Tu t’es fait sodomiser ? Tu as aimé ça ?
Il sourit :
— Il a joui dans ma main ! Le petit coquin lubrique !
— Tu nous as manqués !
— Je suis un peu jalouse, vous aviez votre petite femme !
Elle se lécha la main :
— C’est bon !
Japy s’était réveillé en entendant sa voix :
— Tu baises les garçons maintenant ?
— Tu n’étais pas là !
— Je te rends le gamin ! Il a giclé sur ma main !
Elle grimpa sur mes genoux, on s’embrassa :
— Tu mouilles !
— Vous voulez encore d’une gentille fille ?
Je lui retirai sa culotte et remontai sa petite jupe :
— Regarde les amoureux !
— C’est un gros pédé ! Je vais leur montrer tes gros seins !
Je déboutonnai sa chemise et baissai son soutien-gorge :
— Regardez ! Les pédés !
— On peut la baiser ?
Je l’allongeai sur la table de la cuisine :
— Le gamin commence ! C’est sa récompense !
Il ne se fit pas prier, il lui écarta les jambes et il la pénétra :
— Il a du métier !
Elle soupirait beaucoup pendant qu’il la baisait, il jouit trop vite :
— Embrasse-moi, c’était très bon !
Nous l’embrassâmes aussi :
— Tu étais très viril, mon chaton !
Japy, pressé, la baisait déjà :
— J’aime les chattes juteuses ! Ça m’a manqué !
Elle s’était mise à gémir :
— Putain !
Il la secouait, elle criait, nous la caressions, elle tenait nos bites :
— Oh oui !
— Je jouis dans une vraie chatte !
Je la baisais à mon tour, je l’inséminai, nous fîmes une pause-café, je finis de déshabiller Laurence :
— C’est mieux comme ça !
Je pouvais jouer avec elle :
— On la veut !
Je l’allongeai sur le dos :
— Le gamin commence !
Je me plaçai derrière, il comprit, il était bien prêt, il se coucha sur Laurence, je l’enculai, il jouit tout de suite, c’était mon petit jeu, j’allais et venais plus vite, ils gémissaient :
— Il fait jouir Laurence !
— Je la baise à travers lui !
— Il aime ça !
— Tu vas l’enculer aussi ?
— Je ne sais pas !
Il se faisait sucer alternativement par leurs deux bouches :
— Je vais prendre la chatte !
— Elle sera bien juteuse, il n’arrête pas de jouir !
— Ça sera encore meilleur !
— Je lui vide les couilles !
— Vide les tiennes ! Tu lambines !
— Je le sodomise, c’est plus long ! Laisse-moi tranquille ! Je sens que ça vient !
— Accélère !
— C’est bon, je jouis !
Je donnais des coups de reins en les secouant tous les deux jusqu’à la dernière giclée :
— Laisse la place, mon chaton !
Il continuait à la baiser, je le retirai :
— Je vais te sucer, mon chaton !
Japy la baisait déjà :
— Je nage dans le foutre !
— Change d’orifice !
— Il y a aussi mon foutre ! J’ai déjà éjaculé dans cette petite chatte ! Je vais recommencer !
Notre jeune voisin éjacula dans ma bouche :
— J’aime ton sperme, mon chaton !
Puis, je me fis sucer par Laurence, je jouis dans sa bouche, elle me souriait.